S'il est encore assez tôt pour parler de maintien, l'ASG est dans l'obligation de faire un bon résultat à Béja sous peine de graves complications. L'ASG est entrée en stage depuis lundi, du côté de la capitale, en vue de préparer convenablement son match face aux Cigognes de Béja. L'avant-dernier face au dernier, ce choc à six points ne manquera pas de conditionner l'avenir immédiat de ces deux clubs en Ligue I. C'est qu'en pleine zone de turbulences, l'ASG croisera le fer à Béja avec une équipe, elle aussi en proie au doute et acculée à gagner ou à quitter (à terme) l'élite. Certes, un léger mieux a été observé depuis l'avènement de Sofiane Hiddoussi. Mais si la «Zliza» a quelque peu sorti le grand jeu face aux grands, elle a inexplicablement chuté face à des formations de moindre envergure. Question de tempérament, de caractère et de motivation. C'est le talon d'Achille actuel d'une équipe qui pêche par manque de constance alors que le groupe est composé de joueurs pétris de talent. Faire bon cœur... Cela dit, Sofiane Hiddoussi comptera forcément sur (presque) les mêmes éléments faute d'effectif pléthorique. Dans les cages, Khemais Thamri sera reconduit. Le reste de l'équipe ne devrait pas bouger d'un iota à l'exception de la possible titularisation du jeune Ferchichi, alors que Cherni et Gontassi sont compétitifs et tenteront d'alimenter Aouichaoui en bons ballons. A noter qu'en dépit d'un fond de jeu qui force le respect, l'ASG n'est pas encore sorti d'affaire. Seuls les trois points sont envisageables pour sortir des profondeurs du classement. Aux petits soins Aux petits soins depuis quelques jours, le bureau directeur s'active en vue d'assurer toutes les conditions de réussite. Les joueurs ont été payés rubis sur l'ongle et l'ambiance est sereine en dépit d'un classement préoccupant. Cela dit, s'il est encore assez tôt pour parler de maintien, l'ASG est dans l'obligation de faire un bon résultat à Béja sous peine de graves complications.