Le ST ne sait pas encore où accueillir Hammam-Sousse en raison des travaux entamés aux stades d'El Menzah et de Zouiten!... L'éternel problème du terrain refait surface au Stade Tunisien. Le club du Bardo ne sait pas toujours dans quel stade il accueillera Hammam-Sousse pour le compte de la première journée de la nouvelle saison. Un dilemme qui n'arrête pas de perturber la marche du club à chaque fois que des travaux sont entamés aussi bien dans le Stade olympique d'El Menzah ou celui de Zouiten. Pour le cas d'espèce, les travaux ont lieu dans les deux stades en même temps. Ce qui écarte toute hypothèse de recourir à l'un ou l'autre pour une période indéterminée. Le problème du stade que l'équipe stadiste ne cesse d'affronter nous amène à parler de l'état du Complexe du Bardo qui n'a toujours pas trouvé de solution et dont les travaux d'aménagement traînent depuis des années. Des années au cours desquelles on n'a pas avancé d'un pouce. Le complexe est visiblement le dernier souci de la municipalité du Bardo qui reconnaît son incapacité à achever les travaux entamés depuis plus de quinze ans. Les bureaux directeurs, qui se sont succédé à la tête du club, n'en étaient pas moins épargnés. Le court terme primait et prime toujours sur toute considération pouvant mettre en exergue le travail à long terme. Il faut dire que l'achèvement des travaux d'une aussi grande envergure ne peut être du ressort de la municipalité, et encore moins des dirigeants du club. Les moyens, dont disposent les uns et les autres, ne leur permettent justement pas de s'acquitter d'une pareille entreprise. L'achèvement de ces travaux dépend, en premier lieu, d'une décision politique. Les promesses du ministère n'ont jamais été tenues. Elles n'ont pas dépassé la phase des visites sur les lieux. Le reste, l'essentiel, on attend encore et toujours. Pendant ce temps-là, le Stade Tunisien subit tous les aléas provoqués de façon permanente par l'absence de terrain. Un handicap majeur pour une équipe qui tient pourtant à prendre une plus grande dimension, mais qui ne dispose point des conditions favorables pour réaliser une telle ambition. Darragi, régisseur Ghraïri a déjà fait son choix. C'est, en effet, Halim Darragi qui remplacera Oussama Sallami au poste de régisseur. Une chance pour ce jeune joueur qui a justement besoin qu'on lui fasse confiance et qui n'attend que cela. Le temps est venu pour que l'équipe stadiste pense à l'émergence de certains nouveaux talents qui passent par une bonne période. Ghraïri en est fortement conscient et il est décidé à donner à l'équipe un nouveau look et surtout de nouvelles prérogatives. A l'entrejeu, Darragi sera accompagné de Borhane Ghannem, Marcel Koissi et Hamdi Mabrouk. Qui avec Orok? Si Orok est déjà rassuré de sa titularisation à la pointe de l'attaque, il n'en est pas de même pour le nom du deuxième attaquant. Ghraïri hésite, en effet, entre Ben Salem et Ben Ammar. Les deux joueurs partent avec les mêmes chances et chacun aura encore le temps suffisant pour convaincre son entraîneur, puisque la reprise du championnat a été reportée au 10 novembre. Pour sa part, Chaouachi ne figure plus dans le dispositif offensif de Ghraïri. Ne serait-ce que pour le début du championnat. Bahri fin prêt... Bonne nouvelle pour le staff technique : l'arrière droit Wael Bahri est complétement rétabli. Il sera donc titularisé dans son poste de prédilection lors du premier match de la nouvelle saison. Dans le même ordre d'idée, Ghraïri a déjà tranché concernant les joueurs qui seront alignés dans le compartiment défensif. Celui-ci sera composé du gardien Jassem Khalloufi, des arrières latéraux Wael Bahri et Marwan Tej, et enfin Guizani et Amamou à l'axe central.