Le photographe A. Hoffner a violemment dénoncé sur les réseaux sociaux cet abominable crime dont l'enjeu est l'argent Le trafic des ailerons ou des nageoires de certains requins, tout comme les cornes de rhinocéros qu'on prétend à tort posséder des propriétés aphrodisiaques, malgré l'interdiction formelle d'Interpol qui œuvre sans lâcher pied pour mettre fin à ce trafic honteux et identifier les braconniers des hautes mers qui sévissent impunément et en toute légalité dans plus d'un pays d'Asie, n'en continue pas moins. La Thaïlande, le Vietnam et la Chine sont très friands de ce genre de commerce à cause de la présence d'une certaine substance censée créer et stimuler le désir sexuel depuis des millénaires dans la médecine chinoise, notamment pour soigner les très fortes fièvres et les convulsions, en plus d'un appétit sexuel défaillant. Dernièrement, lors de la première quinzaine du mois de janvier 2013 et dans le cadre de la lutte contre le crime environnemental à l'échelle mondiale, Interpol et Cités, l'organisme qui définit les règles et contrôle le commerce planétaire des espèces animales et végétales protégées, le célèbre photographe Alex Hoffner a violemment stigmatisé sur le site web, Twitter et les réseaux sociaux, l'abominable crime à l'encontre des cétacés et des requins : des milliers de mammifères marins tués sauvagement à cause de leurs nageoires par des braconniers sans foi ni loi. Récemment, une journaliste chinoise a révélé que ce genre d'exploitation est commis en toute légalité et à grande échelle. C'est qu'il génère l'appétit de la mafia, prête à tout pour se procurer cet or blanc.