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«Ce qui m'importe le plus, c'est exposer une démarche»
Entretien du lundi: Ramzi Souani
Publié dans La Presse de Tunisie le 13 - 04 - 2015

Ramzi Souani est un inclassable. Né en 1970, après des études en mathématiques, il devient photographe et graphiste indépendant. Il expose ses photos depuis 2005 sous nos cieux et à l'étranger. Il est de ceux qui ne croient pas à la spécialisation dans l'art, ses soucis esthétiques le mènent au théâtre (2007) et à la réalisation cinématographique (le film «Souffle» en 2009). Il croit fortement à l'importance des structures culturelles alternatives, il a animé, dans ce sens, le ciné-club de Tunis et a fondé le Cinescope. On l'a rencontré à l'occasion de sa récente exposition de tableaux-objets «Palimpseste», présentée à El Teatro. Entretien
On vous a surtout connu photographe...
C'était une façon de travailler sur l'image. Etre photographe ne veut pas dire grand-chose pour moi. J'ai un problème avec l'auxiliaire être. J'ai fait des images à travers une interface technique. La démarche était plastique dans laquelle j'ai procédé à des compositions avec des fragments photographiques. En 2005, le support photographique me paraissait comme le support démocratique par excellence (sourire) pour couper avec une certaine idée de l'œuvre unique. Il y avait une sorte de sens adéquat, vu les conjonctures sociopolitiques de l'époque. Aujourd'hui, cet enjeu devient un peu superflu; l'objet le plus démocratisé étant le «mot» démocratie sans pour autant que nous disposions encore des mécanismes réels de la démocratisation participative.
Alors c'est l'enjeu qui est de mise?
Oui. L'enjeu qui est essentiel actuellement est celui de la représentativité. Nous baignons dans une culture où la représentativité a toujours posé un réel problème par rapport aux autres peuples ou civilisations. On nous a importé ou traduit «notre» histoire comme une interdiction de se représenter et même avec ce que nous appelons aujourd'hui comme «démocratie» représentative, nous essuyons des échecs répétitifs, car nous avons du mal à nous voir dans une certaine projection significative. Représenter formellement revient à disposer du réel d'abord... chose qui nous fait défaut souvent, puis d'un dispositif (physique ou mental) pour capturer et ensuite disposer d'un écran/surface ou n'importe quel médium. Ceci suppose aussi qu'il y ait ce qu'appelle Aristote une diaphane... une sorte de distance requise pour voir.
Une sorte de recul?
Une sorte de recul, oui. Ce qui se traduit chez les uns et chez les autres par l'autocritique. Revisiter sa propre histoire, faire la paix avec ses propres démons, etc. Moi, je pense que ce dispositif est la porte civilisationnelle dont nous avons un peu perdu la clé, l'Histoire, la mémoire, le brouillard autour...
Dans tout cela, comment se définit votre approche artistique?
Selon moi, un travail respectable devrait fonctionner sur au moins trois aspects : un propos (quelque chose de foncièrement réfléchi et analysé), avoir un positionnement épistémique sur la discipline ou les disciplines que nous touchons pour essayer d'y fonder quelque chose en rapport avec son dépassement et puis avoir une liberté totale. Mon travail est un questionnement sur le Temps. La temporalité est une question au cœur de toute projection, de toute représentativité et un questionnement sur le support qui est écran. Moi, je change de médium, donc c'est une forme de réflexion sur l'écran au sens large du terme. De la photo au théâtre, c'est toujours une question de temporalité et de médium. Personnellement, j'ai fait du théâtre, du cinéma, de l'animation, du pictural, etc. sans me soucier de ce que c'est qu'être cinéaste ou peintre ou autre chose.
Vous ne semblez pas croire à la spécialisation...
Pas dans les domaines dits artistiques, en tout cas. Le «faiseur» engage un projet sur ce qu'il accumule et use des moyens d'expression dont il dispose sur l'écran le plus «faisable». Il s'agit plus d'une forme de théorisation de la «faisabilité», donc d'objectivation, si j'ose dire, au sens de l'art «objet». Nous avons tendance à parler un peu trop, au sens de bavardage, nous fabriquons si peu, pas seulement dans le champ artistique, mais partout. Ce qui importe au final, c'est le rapport de l'homme à la civilisation et sa capacité à transformer des matériaux physiques.
La nécessité de migrer vers d'autres médiums vous a, en quelque sorte, mené à la réalisation cinématographique et au théâtre?
C'est plus compliqué que cela. Disons plutôt que le cinéma permettait une autre visibilité par sa transportabilité.
Vu les difficultés de «fabriquer» un spectacle éphémère et disposer d'une boîte à images, le cinéma se présente comme une alternative intéressante copiable, mais les enjeux sont un peu de même nature au fond: travailler sur un «genre» intermédiaire et se poser les questions du temps et de la temporalité. J'ai fait du théâtre en réalisant une sorte de montage filmique sur scène en direct ponctué de moments de noir absolu, imposant, ainsi, au spectateur une solitude profonde pendant une minute qui est vécue comme une éternité. C'était une adaptation du texte d'Amélie Nothomb «Les combustibles» traduit par Ridha Boukadidia - qui m'a fait le cadeau de jouer dans la pièce- et représentée en 2007 à El Teatro. Pour ce qui est de mon court métrage «Souffle», l'approche était, aussi, dans une sorte de théâtralisation des corps suspendus à un éventuel événement; l'attente d'un horizon d'événements, de temps, des temps...
De la mise en scène à travers vos photomontages également...
La mise en scène est fondamentale car il doit toujours y avoir un propos. Je préfère vraiment le terme photomontage sur le terme photo et je procède en photographiant des espaces habités par leurs propres mémoires, ensuite je prends en photo des modèles en studio, donc dans une posture adéquate à la perspective ou autre chose en vue de «dessiner» ou peindre avec ces corps et remeubler le contexte spatial avec le tragique du corps, pour résumer un peu le processus.
Il y a aussi cette volonté de récupérer et de réécrire le Temps. Votre récente exposition «Palimpseste» en témoigne.
Palimpseste s'inscrit dans un foisonnement du temps qui ne devrait pas créer un brouillard épais de visibilité: le temps représenté, le temps de la représentation et l'espace-temps de visibilité (je préfère toujours la notion d'espace-temps). Il est question de mémoire, de l'effacement de l'Histoire et de nos mémoires personnelles qui sont le fruit de condensation générationnelle ou personnelle. Une question qui me hante est au centre de ce travail: sommes-nous indépendants ou juste décolonisés ? J'ai dû, alors, revisiter une certaine Afrique du Nord et ses rapports à l'image... et à l'autre, à travers une histoire qui commencerait par la découverte des mines de phosphates en Tunisie par les Français à la fin du XIXe s. Les découvertes des civilisations capsiennes datent de l'époque où l'archéologie était une arme de guerre comme d'autres sciences d'ailleurs (il suffit de voir la campagne de Napoélon en Egypte et les scientifiques emmenés avec lui au 19e). Les Capsiens, nos ancêtres, en quelque sorte, mangeaient des escargots mais aussi des œufs d'autruche sur lesquels ils dessinaient des images.
Ils trouaient même ses œufs et comme l'albumine a cette caractéristique chimique de rendre les surfaces photosensibles, cela m'a amené à croire en l'existence d'un sténopé archaïque chez nous! J'ai eu, en quelque sorte, «une révélation» au sens photographique et au sens divin du terme (sourire). «Palimpseste» est une histoire fictionnelle basée sur ce constat «plausible» mais pas réel, comme toute fiction d'ailleurs, et qui retrace l'histoire d'un œuf qui porterait en lui une certaine image du monde... de notre monde nord-africain... Il y aurait une boucle entre le traité du Bardo en 1881 et notre surendettement d'aujourd'hui. Retour à la case départ. Entre-temps, les Capsiens sont projetés à travers une histoire longue chez nous, le passage phénicien, carthaginois, romain, arabe, etc. Il y a une lecture d'histoire, notre «histoire» est toujours écrite par les autres en grande partie. On nous la présente depuis 200 ans comme une histoire de défaite (il n'y a qu'à voir ce qui se passe en Syrie, au Yémen et en Libye; l'autre décide de tout, de la vie, de la mort, des querelles ou des accords). L'Orient ou le Moyen-Orient nous considèrent comme une périphérie du monde arabe ou musulman. Aux yeux de l'Europe, nous sommes une périphérie méditerranéenne et les Turcs nous voient comme des vassaux de longue date. Nous sommes acculés à nous voir en tant que périphérie, nous avons besoin de nous centrer quelque part.
Et vous dans tout cela?
Moi, je fais partie des affranchis de cette démarche. Je me recentre sur l'ici et maintenant en puisant dans des objets des temps choisis par moi-même comme une image immédiate de moi-même. Pour résumer en deux mots, je me trouve en accord avec des gens comme Kamel Daoued, je pense faire partie de cette nouvelle génération qui sait opérer autre chose en dehors du complexe du décolonisé qui gratte encore chez les traditionalistes ou le complexe des délaissés maghrébins qui gratte les islamistes. Nous sommes des Nord-Africains avec nos propres mécanismes et centralisations géopolitiques, civilisationnelles, etc. C'est à nous de trier dans notre histoire les termes et la syntaxe qui feront que nous puissions nous démarquer en restant universels. C'est ce qui se passe partout chez les autres peuples qui écrivent eux-mêmes leur Histoire.
Qu'est-ce que l'acte d'exposer pour vous?
Exposer est montrer, inviter à voir. En général, je ne pense pas exposer des objets ou des «œuvres». Ce qui m'importe le plus, c'est exposer une démarche. D'ailleurs, j'expose toujours des «projets» qui ont une certaine unité ou un propos qui se veut cohérent.
Donc thématisé. C'est le cas dans mes expositions «Cinétique du désir», «Lucifer in Love» ou «Palimpseste». Les «objets» qui en découlent, que ce soit des tirages encadrés ou autres, ne sont en fait que des variations sur le concept du projet. Il y a une infinité de déclinaisons possibles, sauf que je décide que ce soit ces objets en particulier car n'importe quel espace d'exposition est un espace fini (sourire). Maintenant, qu'en est-il du spectateur ? me diriez-vous
Il n'existe pas en tant que réceptacle individuel. Il est pris en compte en tant que «corps social» que l'acte d'exposer est supposé le concerner. On n'expose pas pour tout le monde. Je n'ai pas la prétention ni le choix d'intéresser les masses. Faire en sorte que certains individus de certains corps sociaux reformulent avec le projet certaines questions est l'enjeu essentiel. Je ne suis pas contre l'Art dit «populaire», mais je ne le fais pas, du moins dans mes intentions conscientes.
Vous êtes un grand cinéphile, cela s'est vu, entre autres et aussi, dans vos activités dans le ciné-club de Sousse...
Le ciné-club de Sousse a été frappé, comme beaucoup de ciné-clubs et autres structures culturelles alternatives, par une forme de momification lors de la dernière décennie. Il a donc été question de le reprendre avec des jeunes qui étaient à la quête d'une forme nouvelle (pour eux) de s'exprimer dans un contexte social. Le ciné-club d'alors pouvait, dans une certaine mesure, présenter un lieu ou un espace où on pouvait regarder des films et en discuter. On a en quelque sorte putsché le ciné-club de Sousse avec la complicité de certaines personnes, y compris des membres du bureau fédéral de la FTCC. En 2009, Adel Ghezala et la présidente de l'époque nous ont beaucoup aidés. Il y a donc eu une dynamique active entre 2009 et 2010 qui s'est matérialisée par le Cinescope 1, puis 2, puis 3. Le dernier a été une forme de fédération des efforts pour inviter les ciné-clubs du pays à Sousse et créer ainsi un effet de rassemblement autour des thèmes de discussion et des ateliers pendant 4 jours. La ville a été la scène de jeunes cinéphiles qui discutaient, entre autres, de thèmes comme «Cinéma et engagement» ou «La marginalité dans le cinéma». Je pense que les jeunes personnes qui ont participé à cette aventure en gardent un souvenir assez marquant. Il est temps peut-être de renouer avec le Cinescope... encore faut-il trouver un moteur adéquat. Il était aussi question de décentralisation, qui reste au cœur des préoccupations culturelles actuelles.
Si vous aviez à juger notre politique culturelle, qu'en diriez-vous?
Epineuse question dans un pays qui a du mal à mettre en place une stratégie claire dans ses politiques en général. Attendre que nos hommes politiques formulent pour nous une politique culturelle, c'est comme revivre le cauchemar de certains temps révolus. L'Etat est censé faire son travail de base et d'infrastructure. Créer des espaces culturels partout et dans le plus reculé des quartiers et des régions. Mettre en place des structures décentralisées qui opèrent avec une certaine autonomie pour promouvoir l'action culturelle en facilitant l'accès à la culture. Comme par exemple donner de vrais avantages fiscaux aux entreprises privées quand il s'agit de culture. Donc formuler une stratégie culturelle pour le pays n'est pas du ressort du ministère de la Culture, mais c'est un chantier national qui devrait être animé par les responsables du ministère de la Culture en tant qu'administrateurs de biens publics. Le contenu culturel est l'enjeu des acteurs culturels académiciens ou non académiciens.
Si le ministère de la Culture continue la même démarche de ne faire que subventionner, donc produire et acheter en même temps (le cas du théâtre ou du cinéma), il ne fait que défaire l'hypothétique «marché culturel» qui serait la dynamique réelle de maintenir le corps culturel en vie. Les politiques de «subvention» associées à une bureaucratie ont fabriqué avec le temps des «artistes» qui ne font qu'attendre une aumône. C'est un résultat presque objectif, même s'il n'est pas intentionnel. Il y a une dynamique qui devrait exister entre les «entreprises», c'est-à-dire les détenteurs privés nationaux du capital d'un côté et des structures de l'Etat de l'autre côté en tant qu'animateurs des espaces pour y recevoir la production artistique. Dans l'organisation de ma prochaine exposition de «Palimpseste», le 25 avril, au centre culturel de Sousse, c'est un peu cette dynamique qui a prévalu. Un ami homme d'affaires a financé une partie de l'exposition dans le souci d'agir citoyennement et les responsables du commissariat régional de Sousse ont montré un volontarisme exceptionnel pour recevoir et faciliter l'intervention avec un projet qui est déjà construit. C'est ainsi que l'on peut offrir une visibilité.
Etes-vous sur de nouveaux projets?
En ce moment, je suis en train de tourner un documentaire qui porte sur la démarche de l'exposition «Palimpseste». Il y est question d'un making off et des entretiens avec des universitaires et autres hommes de culture... Sinon des projets, il y en a tellement (sourire), mais ceux qui peuvent voir le jour, donc faisables dans des délais raisonnables, sont de nature plasticienne associés à des variations dans le spectacle et l'audiovisuel... en gros... pour vous donner un peu de l'eau à la bouche... ça va s'intituler «in-vitrus»... (sourire)


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