Ses amis et élèves étaient ravis de le retrouver à Port El Kantaoui et admiratifs de son talent de modérateur lors des Journées de l'Entreprise de l'IACE. Depuis son installation il y a 10 ans à Paris, Moncef Cheikhrouhou s'est fait rare à Tunis. Mais, il n'a rien perdu de sa superbe, de son intelligence, voire même gagné en qualité de debater et en talkshow. Professeur à HEC Paris (économie managériale et finance internationale), cet ingénieur centralien, Ph.D de Berkeley, aligne à 64 ans un parcours croisé d'enseignant universitaire, banquier, consultant international et de patron de presse (il avait succédé à son père feu Habib Cheikhrouhou à la tête du groupe de presse Dar Assabah). Aujourd'hui, il se concentre sur la recherche et le consulting. La grande surprise qu'il a réservé aux siens à Port El Kantaoui, c'était de leur présenter son fils Tarek, installé à Sousse à la tête d'une startup. Il a tout hérité de ses parents, le don du commerce et de l'esprit d'entreprendre en plus, qui rappelle les talents en la matière du feu grand père Si Habib.
