p class="p1" style="text-align: right; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 12px; line-height: normal; font-family: "Myriad Pro";"Par Samia HARRAR Lepouls de la planète... Mais il y a bien longtemps que les "sismographes" ont disjoncté. Du coup, lorsqu'il s'agira d'évoquer, en les énumérant, les pertes et les fracas, collatéraux, il y a de fortes chances pour que les américains, qui voteront aujourd'hui, Trump, à contrario de ceux qui voteront pour Biden, n'auront toujours pas pris la mesure, quatre ans après, du danger qu'ils font courir à l'Amérique. Et le reste du monde? Le reste du monde compte pour peu de choses dans la balance du candidat républicain. Sauf dans la mesure, où il continue, par soumission ou par calcul, à desservir tous les desseins illégitimes et arrogants, de ce "suprémaciste" blanc, qui divise son pays et en creuse les béances, comme jamais auparavant ne l'avait fait, un locataire de la Maison-Blanche dans toute l'histoire de l'Amérique. Qu'il soit dans son camp propre, ou dans celui des démocrates. Pour autant, qu'est-ce qui fera la différence, si, par miracle, Biden finissait par l'emporter devant un Trump, déchaîné, et qui ne compte pas lâcher le morceau aussi facilement, voulant "rempiler" pour un autre tour? En réalité, pour ce qui concerne la politique étrangère, rien sans doute. Ou pas grand-chose. Et Biden sera bien obligé, de faire comme ses prédécesseurs; appliquer, à la lettre", même en arguant du contraire, tout ce dont les Etats Unis ne dévient pas, d'un président, l'autre: tout ce qui est de nature à favoriser leurs propres intérêts "stratégiques". Et leurs intérêts tout court. Ce n'est pas demain la veille, qu'il faut s'attendre au contraire. Reste à souhaiter, pour le bien des américains eux-mêmes, qui n'ont pas besoin, sur le plan intérieur, qu'un fou furieux échappé d'on ne sait quel "asile", pour les diviser, en exacerbant toutes les haines, jusqu'à les dresser "dos à dos" pour qu'ils s'entretuent, que Trump, aujourd'hui, se prenne la "dérouillée" du siècle.