* Vol à l'arraché * Démantèlement d'un réseau de trafic de drogue Un menuisier de La Manouba s'est entendu avec un épicier sur des achats mensuels à crédit. L'accord a été respecté par les deux parties durant deux mois. Seulement, à la fin du 3ème mois, le menuisier a trouvé la note très corsée et refusé de payer en prétextant que l'épicier est allé un peu fort et a exploité sa crédulité. Ce que ce dernier a catégoriquement refusé. Après quelques jours d'attente, l'épicier est revenu à la charge pour réclamer son dû. Il est, même, allé taper à la porte de ce client récalcitrant. Prenant cette venue pour une provocation, le menuisier s'est pris verbalement à l'épicier. Et face à l'insistance de ce dernier, le menuisier a violenté l'épicier lui brisant deux dents. Après un passage aux urgences, le blessé s'est présenté à la police pour porter plainte.
Vol à l'arraché Une dame de 35 ans, médecin dans le secteur privé, s'est présentée à la police pour porter plainte contre un gaillard qui lui a arraché son collier au rond-point du Bardo. Elle était arrêtée au feu rouge près du kiosque lorsqu'un bon homme lui a fait signe qu'il avait une question à lui poser. Son apparence n'était pas inquiétante. Alors, elle a baissé la vitre. Le bonhomme a fait semblant de lui tendre un papier et l'interroger sur l'adresse de la recette fiscale. Et, exploitant sa déconcentration, il lui a arraché son collier et s'est enfui à toutes jambes. Ne pouvant pas le rattraper malgré ses cris de secours, la bonne dame s'est adressée à la police pour porter plainte et donner le signalement du voleur.
Démantèlement d'un réseau de trafic de drogue Des échos sont parvenus à la police de Hammam-Lif sur un réseau de consommation de stupéfiants dans la Banlieue-Sud. Selon l'information, le réseau comprendrait une dizaine de malfrats, dont trois femmes, et visait spécialement les lycéens. Une brigade a été mise sur l'affaire et les faits se sont avérés exacts. Le réseau avait son quartier général du côté d'Ezzahra. Mais, le gros de ses activités se faisait dans la rue. La brigade a obtenu une commission rogatoire et a attendu le moment opportun pour accomplir une descente dans la maison suspecte. Sept personnes ont été arrêtées et une quantité de trois kilos de " zatla " a été saisie. Une enquête a été ouverte.