* L'exemple est venu de De Moraïs * Une infrastructure désuète * L'EST et l'ESS, l'Iftar à Tunis et à Sousse Peu de sportifs parmi les fans du football savent que feu Habib Mougou a un fils, Maher, qui a porté pendant une saison les couleurs de l'Espérance S.T. Non par amour pour l'argent mais pour celui qu'il porte pour l'équipe de Bab Souika. Le comité directeur de l'Espérance S.T n'oublie pas les siens. A preuve, il n'a pas manqué d'adresser les condoléances de la famille espérantiste à la famille Mougou comme à son homologue de l'ESSahel.
L'exemple est venu de De Moraïs Dès qu'il a appris les difficultés rencontrées par Elyès Brinis, l'entraîneur portugais De Moraïs a vite fait de demander le RIB du compte bancaire du joueur pour lui venir en aide pécuniairement. Une somme qui ne résoudra sûrement pas les problèmes de Elyès Brinis mais le geste du Portugais a, sans aucun doute, déstabilisé plus d'un joueur de notre championnat insensible à cette situation.
Une infrastructure désuète Le stade Zouiten est fermé depuis deux années. Les travaux de restauration promis n'ont pas encore commencé. Ne cherchez pas pourquoi, vous ne le saurez jamais. Le Stade Tunisien ne sait pas où disputer ses matches officiels ; le municipal d'Hammam-lif a fermé ses portes pour une raison futile et la pelouse du stade de la Marsa a été jugée impraticable. Trois équipes de Tunis et de sa proche banlieue, S.D.F. Ajoutons leur l'Espérance et le Club Africain que fera-t-on quand trois parmi ces cinq équipes seront appelées à évoluer à domicile ? Et surtout ne parlez pas du stade de Radès dont les gestionnaires exigent une brique de 20.000 dinars pour abriter une rencontre.
L'EST et l'ESS, l'Iftar à Tunis et à Sousse Les responsables des sections de handball de l'Espérance S.T et de l'ESSahel ont décidé de faire disputer en aller-retour une confrontation entre leurs équipes seniors. Demain mardi à Sousse et samedi prochain à Tunis. Ce n'est pas tout. Responsables et joueurs des deux formations prendront l'Iftar ensemble à chaque fois le même jour avant le coup d'envoi bien sûr. Un geste qui fera oublier en partie la parenthèse Elyès Karamosli.