Accord intermaghrébin sur l'exploitation de la nappe Albienne Selon le site d'informations économique et financière : africanmanager.com: Cinq candidats sont short-listés pour l'acquisition d'un bloc d'actions représentant entre 35 et 51% du capital de la Compagnie Tunisienne de Forage (CTF). "Il s'agit de la plus grande entreprise de forage du monde qui réalisait en 2007 un chiffre d'affaires (CA) de 940 millions Usd et qui est de nationalité américaine. Nabors,. On retrouve ensuite un autre américain qui s'est présenté en consortium avec un autre étranger. Weatherford est présenté comme le leader mondial des services pétroliers avec un CA de 832 millions Usd l'année dernière. Troisième short-listé, le croate Crosco qui se présente en consortium avec le tunisien Ofis, filiale du groupe Setcar de Farid Abbès. Le quatrième prétendant au rachat de la CTF, est un argentin qui se présente en consortium avec Pireco d'Abdessalem Ben Ayed. Son partenaire, DLS est filiale de l'américain Allis Chamlers Energy. Le dernier sur la liste des prétendants à la CFT et qui se présente seul, est l'algérien ENTP, filiale de la Sonatrach". La même source indique que pas moins de deux entreprises tunisiennes du secteur, se sont présentées en consortium avec les cinq étrangères.
Accord intermaghrébin sur l'exploitation de la nappe Albienne. L'Observatoire du Sahara et du Sahel (OSS) est arrivé à mettre en place, pour la première fois, un plan à même de pérenniser les ressources hydriques souterraines partagées entre l'Algérie, la Tunisie et la Libye. Appelée système aquifère, il s'agit d'une réserve d'eau considérable mais peu renouvelable et non exploitée dans sa totalité. Pendant de longues années, les trois pays l'exploitaient à leur guise, sans plan précis, ce qui a fini par constituer un facteur de discorde. Un accord vient d'être signé par les trois pays pour un meilleur suivi de cette manne d'eau. Il se veut « une solution à la problématique de l'exploitation des nappes sahariennes par les trois pays en question, de manière à répondre également aux besoins des autres pays subsahariens ».