* Vol à l'arraché * Malversation Une dame s'est présentée à la police de Sousse et a déclaré que ses bijoux ont été volés la veille. Elle a constaté le vol lorsqu'elle a cherché à porter l'un de ses colliers pour une soirée d'amis. Elle a estimé les parures volées à plus de dix mille dinars. L'enquête menée sur les lieux a montré que la maison était occupée à longueur de journée. Aucune effraction n'a été constatée. La brigade chargée de l'affaire a conclu que le vol ne pouvait être commis que par quelqu'un de la famille. Plusieurs personnes sont des suspects potentiels à commencer par l'époux qui croule sous les dettes, la jeune fille qui se prépare au mariage, l'aide-ménagère, voire l'épouse elle-même... L'enquête suit son cours et plusieurs pistes sont plausibles.
Vol à l'arraché Les colliers de deux jeunes filles ont été arrachés alors qu'elles montaient en courant dans le métro desservant El Mourouj. Deux jeunes gens les ont accompagnées pendant leur course pour rattraper le métro et leur ont, même, facilité l'accès à la rame en bloquant les portes. Seulement, au dernier moment, les deux jeunes hommes ont arraché les colliers respectifs des deux jeunes filles, glissé agilement en dehors du métro et laissé les portes se refermer. Les deux voleurs ont continué calmement leur chemin alors que les deux jeunes filles pleuraient à chaudes larmes leur mauvais sort. Les deux victimes sont descendues à l'arrêt suivant et se sont présentées à la police pour déposer une plainte.
Malversation Un bonhomme âgé de plus de soixante ans d'apparence pieuse faisait régulièrement le tour des métros et des stations des bus pour solliciter de l'aide en faveur de la construction d'une mosquée. Il donnait aux citoyens qui contribuaient à cette opération des reçus numérotés. Mais, l'un des citoyens a constaté que les reçus ne sont pas numérotés et ne comportent pas de cachets. Il a soupçonné une supercherie et il a cherché à vérifier la véracité des faits. Une simple vérification auprès d'un ami fonctionnaire lui a donné la preuve que ces reçus sont des faux. Une enquête a été ouverte et le bonhomme a été interpellé. Il a nié toute mauvaise intention. Mais, il n'a pas pu présenter un état des recettes qu'il avait déjà perçues. Il a été écroué et il comparaîtra bientôt devant la justice.