* Ghariani et Zitouni rempilent L'incompréhension, la suspicion voire la colère habitent les supporters du CSHL ces derniers jours. Le sujet de leur grogne n'a nullement trait aux affaires techniques du groupe ou aux recrutements qui tardent à se concrétiser. La fermeture de leur stade municipal, oserions-nous la qualifier de chronique et apparemment injustifiée selon eux, en est la cause. Car ils ne conçoivent guère que des terrains comme ceux de Gafsa, Jendouba et Kairouan reçoivent le public tout en y engageant des travaux de réfection et de réaménagement. Pourquoi seulement le municipal d'Hammam-Lif doit il être condamné dans l'attente du début des travaux qui n'ont pas l'air de vouloir débuter en dépit des liquidités qui seraient déjà débloquées par la tutelle ? Durant l'exercice écoulé, les verts ont gaspillé de nombreux points en recevant à tous les coups à Radès. Pourtant la solution est des plus simples et techniquement d'une facilité extrême à réaliser : le problème selon les experts réside du coté des gradins qui seraient en ruines, soit ! Les fermer purement et simplement au public et recevoir les supporters uniquement du coté des travées découvertes (pelouse). Travées constituées par trois blocs séparés permettant de la sorte une aire tampon de sécurité entre les deux galeries en présence. Et pour les matches où l'affluence risque d'être importante : EST, CA, ESS, CSS, on pourra toujours jouer à Radès avec des recettes conséquentes en perspective. Notre journal a été le premier sur la place à préconiser cette solution, mais restée curieusement jusque là lettre morte ! Si le club a fini la saison précédente par sauver sa peau grâce à quelques exploits, rien ne prouve que pour lors du prochain exercice, il en sera de même. Il est donc grand temps que Mongi Bhar frappe sur la table et réclame avec sa véhémence coutumière la réouverture de son municipal. Il y va de l'avenir du club rien que moins.
Ghariani et Zitouni rempilent La situation commence à se décanter du côté des verts. En effet, Mohamed Ali Ghariani annoncé d'abord à Istres puis au CSS est revenu à de meilleurs sentiments et a signé, jeudi, son contrat. Logique dans la mesure où au CSS le risque de faire banquette est grand avec comme corollaire la perte de son poste en équipe nationale. Il a d'ailleurs rejoint immédiatement ses coéquipiers. Pareil pour Anis Zitouni jusque là récalcitrant et qui a finalement accepté de garder les bois des banlieusards pour une année supplémentaire . Nader Maâtoug et Jupiter s'entraînent avec le groupe et attendent l'aval de Fethi Laâbidi pour devenir officiellement Hammam-Lifois. Sachant que Bhar ne tient nullement à s'immiscer dans les choix et laisse son entraîneur en assumer l'entière responsabilité. Le retour de Evans semble rassurer tout le monde dans la mesure où les transactions avec Seifeddine Chammari marquent le pas pour des considérations financières minimes croyons-nous savoir. Encore un petit effort de Bhar effectuer est l'affaire sera conclue. A souligner que le groupe mettra le cap ce lundi à 8h du matin sur Hammam Bourguiba pour effectuer un stage d'une dizaine de jours. Vignt cinq joueurs feront le déplacement en plus des staffs technique, administratif et médical.