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Tout ce que les Sfaxiens veulent savoir sur leur ville
Publié dans Le Temps le 19 - 10 - 2010

• Interview de M. Moncef Abdelhédi, Maire de Sfax - La propreté de la ville de Sfax, la gestion du budget ainsi que les grands projets envisagés prochainement sont parmi les sujets évoqués par M. Moncef Abdelhédi, Maire de Sfax lors de l'interview qu'il a bien voulu accorder en exclusivité au journal « Le Temps ». M. Abdelhédi nous livre sa vision de la gestion de ces affaires qui préconise une synergie multiparite condition sine qua non pour mener à bien les projets envisagés. Interview
Le Temps : M. le Maire, commençons par la préoccupation majeure des Sfaxiens, celle de la dégradation chronique de la situation en matière de propreté.
M.Moncef Abdelhédi : La gestion des affaires de la cité est une tâche ardue qui exige une synergie entre deux partenaires principaux qui sont la municipalité le citoyen, avec un préalable, celui de l'harmonie entre le conseil et l'administration municipale. Sans oublier le rôle éminent des médias. Or, la démission quasi-totale du citoyen, en matière de propreté, est pour nous source de contrariétés et de soucis. A ce propos, je rappelle qu'au cours de notre campagne électorale, au lieu de nous répandre en promesses, nous avons mis l'accent sur l'importance du partenariat actif avec le citoyen. Concernant la propreté, le problème provient essentiellement d'un important déficit en matériel et de la centralisation de la gestion des équipements et des engins, données auxquelles s‘ajoute l'étendue du périmètre municipal. La propreté, est, je dirais, notre préoccupation majeure. D'ailleurs, l'action municipale en la matière, fait l'objet d'une stratégie qui repose sur plusieurs axes dont principalement l'acquisition d'équipements à même de répondre aux besoins de la ville. Je tiens à ce propos à saluer le soutien apporté par Monsieur le ministre de l'Intérieur sous forme de crédits d'un montant de 2,5 millions de dinars, avec en prime l'exemption de fonds propres. Ces crédits vont servir à l'acquisition de six bennes-tasseuses, en plus d'un certain nombre de véhicules dont des camions et des tracteurs, du matériel qui sera mis en service, en principe le 11 juin 2011, à l'occasion de la Journée Nationale de la Propreté. Je tiens à saluer les efforts louables du précédent conseil municipal, qui a fait l'acquisition de six nouvelles bennes-tasseuses en plus des quatre anciennes. Ainsi, nous aurons d'ici mai 2011, 16 engins de cette catégorie. Notre stratégie en matière de propreté comprend la répartition du matériel sur les différentes circonscriptions ainsi que la détermination d'horaires fixes quant à la levée des ordures ménagères au niveau de chacune d'elles.
Ne pensez-vous pas qu'il est temps pour la municipalité de se départir de son attitude laxiste en matière de sanctions à l'encontre des contrevenants ?
Notre rôle c'est en premier lieu la sensibilisation du citoyen. Des consignes fermes ont été toutefois données aux agents de la réglementation de verbaliser en cas de récidives. D'ailleurs pour donner plus d'efficacité à l'action de ce corps de métier, nous avons procédé à un large mouvement qui a concerné les 2/3 des effectifs.
Si on parlait budget ? Avec 25 millions de dinars on pourrait faire beaucoup de choses, n'est-ce pas ?
Une précision : on n'est plus à 25 à 30 millions de dinars. Mais la masse salariale représente 60% du budget, soit 17 millions pour payer les salaires des 2000 employés dont 300 ouvriers affectés au service d'hygiène, en plus de 60 chauffeurs. Les données comptables montrent qu'il ne reste plus en fin de compte que trois milliards pour le volet développement, montant qui ne suffit pas à couvrir les dépenses en matière de voirie, d'entretien, de culture, de jeunesse, de création d'espaces verts etc… A tout cela s'ajoute le montant considérable de six millions de dinars d'arriérés en matière de taxe locative. Pour remédier à cette situation, nous avons adopté une stratégie à même de nous permettre de renforcer les ressources de la municipalité, ce qui nous autorise à espérer obtenir le Prix Présidentiel, en 2013.
La médina de Sfax et ses maux endémiques ?
Lors du conseil ministériel, tenu il y a un mois, Monsieur le Président de la République a ordonné des mesures en vue d'assurer l'entretien des médinas de Tunis, Sousse, Sfax et Kairouan. Notre ville a eu la chance de se voir octroyer une enveloppe de 2,3 millions de dinars. Concernant les actions à mener, une étude a été confiée à un bureau d'études et je profite de cette occasion pour lancer un appel à l'intention de toutes les compétences intéressées par l'avenir de la médina pour qu'ils apportent leur contribution à cette étude menée par les architectes Ghazi M'hiri, Mongi Achiche et Mounir Turki . Nous envisageons l'aménagement d'un parcours qui correspond à celui du circuit touristique. Les travaux, dont le démarrage est prévu pour les mois de février ou mars 2011,porteront sur le revêtement du parterre, l'esthétique des façades et des devantures, l'éclairage, la mise sous terre de tout ce qui est câbles etc…Il y a là de quoi inciter les propriétaires des maisons riveraines à y apporter les réaménagements adéquats. Mieux même, nous espérons le retour des anciens habitants de la médina livrée à l'abandon avec toutes les conséquences et tous les maux qui pourraient en découler. Notre objectif est de faire acquérir à la ville de Sfax le label de ville touristique, ambition qu'autorise aussi la dimension grandiose du projet Taparura.
Des projets pour Bab Jébli et Bab Diwane et Chott El Krekenah ?
Face à la situation dérisoire des deux espaces cités en premier, on ne peut rester indifférent. Nous avons une certaine vision des réaménagements à entreprendre. Concernant Bab Jébli, des pourparlers sont engagés avec la Société Sfax El Jadida pour l'amener à adopter le projet d'aménagement d'un parking sous-terrain, d'un coût global d'environ cinq millions de dinars. Le parking sera surmonté d'une somptueuse esplanade, avec des kiosques modernes, ce qui permettra de dégager la vue et de mettre en valeur les remparts. On tournera la page des étals anarchiques et du chaos qui y règne actuellement. Quant à la gare routière, elle n'aura plus sa raison d'être puisque les bus, au lieu de stationner, ne feront que s'arrêter pour embarquer les clients et poursuivre leur trajet.
Concernant toute action d'aménagement, dorénavant, nous adopterons le principe de la consultation, avant de prendre une décision définitive et d'éviter de la sorte les critiques, parfois un peu trop sévères à mon sens, comme c'est le cas pour l'avenue Hédi Chaker. Cette artère fera très prochainement l'objet de travaux de réparation des conduites d'eau, de réfection du parterre et surtout de suppression des bacs à fleurs qui encombrent l'espace et obstruent la vue, pour donner plus d'aération à l'esplanade. Des décisions concerneront également les fleuristes, les kiosques à fleurs ne présentant pas l'esthétique séante.
Pour sa part, le projet de réaménagement de la Place de la République, il est vrai qu'il ne recueille pas l'unanimité des riverains mais toute décision d'annulation exige une procédure légale incontournable. Toutefois, la Place de la République est actuellement au centre de négociations avec un investisseur disposé à y construire un parking sous-terrain. Au cas où les pourparlers aboutiraient, nous aurions réalisé une affaire d'un grand intérêt pour la communauté.
Pour ce qui est de Chott El Krekenah, nous avons proposé à la société concernée, en attendant le PIF, périmètre d'intervention foncière, de commencer par l'animation du bassin, sachant que des privés souhaiteraient y investir dans des activités de loisirs nautiques.
Qu'en est-il de la rénovation des remparts dont un pan du côté oriental est en état de vétusté manifeste ?
Cette opération est une charge qui incombe à l'Institut National d'Archéologie, sachant que globalement, les murailles de Sfax figurent parmi les mieux conservées et les meilleures d'Afrique.
La société Sfax El Jadida est sur la sellette en raison notamment des nombreux abus dont elle se serait rendu coupable. Y a –t-il des mesures en perspective ?
Nous ne saurions occulter le rôle éminent joué par ladite société en matière d'aménagement de la nouvelle zone urbaine de Sfax El Jadida, ce qui ne la décharge pas de sa part de responsabilité concernant les abus qu'on lui reproche, une responsabilité, d'ailleurs partagée avec la municipalité. Nous estimons qu'il vaut mieux se tourner vers l'avenir et prendre les mesures préventives qui s'imposent. L'évaluation des réalisations est très utile pour faire des projections sur l'avenir. A cet effet, des commissions sont en train d'examiner l'aménagement de la zone de Pic-ville, qui est le prolongement de Sfax El Jadida, sachant que nous sommes en train de remanier le plan d'urbanisme de Sfax dont la nouvelle version verra le jour dans deux ans.
En matière de construction anarchique et des infractions aux règlements en vigueur, il vaut mieux se tourner vers l'avenir : la commission concernée au sein de l'actuel conseil fait preuve d'une vigilance sans relâche pour empêcher toute velléité de transgression de la loi.
La circulation, les giratoires et les taxis, le stationnement, le manque de parkings etc…, du pain sur la planche, pour le conseil municipal.
Pour ce qui est des taxis, nous sommes en train d'examiner la question de très près pour trouver une solution radicale et définitive dans le cadre d'une solution globale aux problèmes de circulation dans la ville, problèmes causés par l'accroissement considérable du parc automobile. L'adoption de la formule du stationnement alterné est destinée à assurer la fluidité de la circulation. Les parkings dont l'exploitation est adjugée actuellement à des privés seront intégrés dans la zone de stationnement alterné, sachant que les contrats de location au profit de ces concessionnaires ne seront plus renouvelés après le 31 décembre 2010. Parallèlement, nous serons intransigeants à l'encontre des contrevenants, particulièrement ceux pris en délit de stationnement en deuxième position qui encombrent la chaussée et provoquent des goulots d'étranglement. Notre slogan est « stop au laisser-aller et aux interventions ». Les consignes à ce sujet sont fermes : bannir la complaisance et ne pas céder aux interventions. Comme le veut le Président de la République, nous devons traiter tout le monde sur un même pied d'égalité comme il sied à la Tunisie, pays du droit et des institutions. Les 14 grues dont nous disposons œuvreront partout. Mais je tiens à préciser que notre objectif n'est pas de nous acharner contre le citoyen ou de l'accabler par de lourdes contraventions. Sachez en effet que le montant des amendes n'est que de 14 dinars, alors que la municipalité a besoin d'augmenter ses recettes. En fait, on n'a pas le droit de demander des comptes au citoyen en l'absence de solution adéquate aux problèmes du stationnement. C'est la raison pour laquelle, nous envisageons, outre les deux parkings souterrains sus- mentionnés, d'aménager un parking à étages, au lieu et place de celui projeté par l'ancien concessionnaire privé.
Concernant les giratoires, je conviens que la densité de la circulation ne se limite plus aux heures dites de pointe, particulièrement à certains endroits de l'avenue Magida Boulila et que cela nécessite une présence permanente, durant la journée, d'agents de la circulation. Nous transmettrons les doléances des citoyens à ce sujet à M. le directeur du district de Sfax.
Les Sfaxiens qui espéraient se baigner sur les plages de Taparura ont dû déchanter. Mais d'un autre côté, il serait mal venu d'autoriser la baignade sur toute la zone car cela risquerait de faire fuir les investisseurs.
Cela n'est pas du ressort de la municipalité. Il serait utile de savoir quand même qu'il faut une année de garantie pour le projet à l'issue des travaux de la phase de dépollution. D'autre part, une exploitation anarchique est fortement déconseillée. Ce qui est sûr, c'est que le projet fait l'objet d'un intérêt particulier de la part de M. Le Président de la République. Par conséquent, son suivi est entre de bonnes mains. Ce que je pourrais dire, en ce qui concerne la municipalité, c'est que, en attendant les décisions qui seront prises par la société concernée, nous nous penchons, dès à présent, sur le programme 2011, en matière de sécurité, de secours etc …, conjointement avec les services de la Protection Civile.
Le projet de construction de l'abattoir régional tarde à se concrétiser !
Pour des raisons d'ordre procédural, nous en sommes actuellement à notre troisième appel d'offres international. Etant donné que les études qui vont démarrer au mois de janvier 2011, prendront environ six mois et que la réalisation du projet exige aux environs de dix-huit mois, l'abattoir serait opérationnel début 2013. Il aura alors nécessité des crédits de plus de 13 millions de dinars.
Le secteur de la culture et plus particulièrement l'animation et le soutien aux clubs culturels ont été négligés et mal lotis.
Nous avons quand même des activités qui marchent bien. A ce propos, je pourrais vous citer l'exemple du Festival de la Médina et du Festival International de Sfax. mais ce que je pourrais garantir dès maintenant, c'est que le budget alloué à la culture sera renforcé au titre de l'exercice 2011, conformément aux orientations nationales en la matière.
Quelles sont les orientations du conseil municipal en matière de réalisations et d'entretien ?
Notre programme d'action privilégie moins la création que l'entretien et la maintenance de ce qui existe déjà. Cela s'applique par exemple aux voies publiques mises en péril par la dégradation de leur état. Faute d'entretien adéquat, elles finiraient par se transformer en pistes. Or les travaux de maintenance sont extrêmement coûteux. A titre d'exemple, notre réseau d'éclairage compte 13000 lampadaires dont 3000 doivent être remplacés annuellement moyennant des crédits de l'ordre de deux mille dinars, dans la mesure où l'unité coûte soixante dinars. C'est pour cette raison que je réitère l'appel lancé à l'adresse des habitants de la cité pour qu'ils s'acquittent de leur devoir de citoyens.
Où en est-on dans la concrétisation de la Stratégie de Développement du Grand Sfax 2016 et quelles sont les nouvelles projections dans le même cadre ?
Nous sommes en train de nous pencher sur les projections à l'échéance 2030, sachant que le Président de la République conçoit le développement de Sfax de manière futuriste. La mise en œuvre de la Stratégie de Développement du Grand Sfax 2016, dans ses grandes lignes va bon train. Nous avons de légers retards et nous nous appliquons à les rattraper, sachant que 2011 est la dernière année du XIème plan de développement. Nous allons nous efforcer de procéder au démarrage de tous les projets prévus dans le cadre du XIème plan et de la SDGS 2016 pour pouvoir en assurer la continuité requise avec le XIIème plan. C'est ainsi que , très prochainement, l'année 2011 verra le démarrage des projets suivants qui se rapportent au marché de gros des légumes et fruits (4 millions de dinars), à la médina ( 2,3 millions de dinars), à l'acquisition d'équipements et de matériel ( 2,5 millions de dinars), à l'entretien de la voierie ( 2,5 millions de dinars), au marché aux poissons de Bab Jébli ( 400 mille dinars), à l'abattoir municipal ( 13 millions de dinars), et enfin au renforcement du système informatique ( plus de 400 mille dinars)
Entretien conduit par Taieb LAJILI
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Vers le label de ville touristique avec la réhabilitation de la Médina.
Budget de la municipalité : 30 millions de dinars dont 17 de masse salariale.
Parkings-souterrains (possibles) à Bab Jébli et à la Place de la République et animation du bassin de Chott El Krekenah.
Les 14 grues dissuaderont taxis et privés de stationner de manière anarchique.
Les baignades à Taparura dépendent de certaines garanties inhérentes à l'efficacité de la dépollution.
L'abattoir serait opérationnel en 2013. Mais on en est encore aux appels d'offres.


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