Le parti, récemment arrivé sur l'échiquier politique «Mouvement Tunisie Nouvelle» s'affaire déjà contractant d'appréciables adhésions auprès de tous ceux qui croient en la démocratie, bien sûr, mais qui adhérent aussi au projet consistant à «modifier radicalement l'espace médiatique tunisien pour une meilleure image de la Tunisie Nouvelle», comme l'a déclaré son secrétaire général, Mustapha Masmoudi, président de l'Association Tunisienne de la Communication et des Sciences Spatiales ATUCOM, auteur de nombreux ouvrages de référence et ancien secrétaire d'Etat à l'information dans le gouvernement Hédi Nouira. Quels sont dès lors les signes distinctifs de ce parti ? Il s'agit essentiellement de contribuer à la consécration des valeurs démocratiques en fédérant les jeunes grâce aux moyens de communication appropriés. Dans cet esprit la cybergouvernance devient l'un des ( nouveaux) registre de la démocratie directe. Pour le reste aussi, plein de propositions pour l'agriculture, la culture les acquis de la femme, le social qui soit à la fois quantitatif et qualitatif et le retour d'une politique étrangère percutante. Le parti peut déjà compter sur l'appui d'hommes d'affaires de premier plan, l'apport de cadres jeunes et performants tel que l'homme de tourisme Foued Bouslama ainsi que sur des figures emblématiques ( mais qui ne seront pas à l'avant-scène) tel que Mansour Moalla. Actuellement le parti est en train de se structurer et il présentera sous peu, au cours d'une conférence de presse, près de 50 points qui représenteront les axes de son action dans l'esprit de sa charte fondatrice : social, humaniste et « cyber démocratique»