Prévue pour le 3 aout à 22h, l'AG extraordinaire du CSHL ne débuta qu'avec 45' de retard soit à 22h45'. Elle fut présidée par 3 juges : Montassar Ben Fradj, Taoufik Hosny et Wissem Ben Alige et un avocat Fayçal Boucetta. Dans son allocution d'ouverture, Mongi Bhar a souligné à l'endroit de la nombreuse assistance que le but de la tenue de cette joute était uniquement d'amender le statut déjà existant du club. Et que tous ceux qui étaient là pour destituer ou reconduire Mongi Bhar devraient patienter pour le faire lors de l'AG élective. Il a insisté que seules les couleurs du club importaient nonobstant les personnes devant présider à leur destinée. En application de l'article 23 Prenant la parole, Montasser Ben Fradj a annoncé aux présents que le nombre des adhérents s'étant procurés leur carte était de 241. Que le pointage des présents dans la salle était de 106. Selon l'article 23 de la circulaire de la tutelle réglementant la tenue des AG extraordinaires et stipulant que les 2/3 des adhérents devraient être présents pour que les assises aient lieu légalement, le report donc pour quorum des 2/3 non atteint était indiqué. Proposition pour le 18 aout pour la tenue de la nouvelle AG extraordinaire. Une décision qui fut suivie par un tollé général de l'assistance tenant absolument à en découdre très rapidement avec cette affaire dans le dessein de permettre aux joueurs de reprendre leur travail dans les plus brefs délais d'autant que les autres écuries s'étaient déjà remises à l'ouvrage. Conditions à revoir Pour notre part, nous pensons que les conditions de la tenue de cette AG étaient très mauvaises avec une salle se révélant par trop exigüe pour contenir l'impressionnante affluence. Penser peut-être à la salle du complexe culturel autrement plus spacieuse pour la réunion future du 18 aout. De son côté, Bhar a affirmé que ce retard n'influerait pas sur la reprise des entrainements et que les joueurs reprendraient sous peu le chemin du stade.