Les affaires du Stade Tunisien vont très mal, et, le malheur est que les responsables, s'en soucient comme d'une guigne. Jusqu'à la rédaction de ce billet, aucun dossier en suspens n'a été solutionné.
Bien que le temps presse, les départs, et, les arrivées sont absents de tout discours. Le futur entraîneur est encore inconnu. Les joueurs étrangers, et, nous tenons à le crier haut, et, fort, car il y va de l'image de notre pays, sont maltraités...
Le système de pilotage de l'actuel bureau s'est avéré nul, et, personne ne pourra prétendre le contraire.Le dit BD a atteint des gouffres d'impopularité jamais touchés par ses prédécesseurs, et, son obsession à vouloir s'accrocher au poste, à vouloir jouer les prolongations . Ceux qui murmurent que tout est lié aux intérêts personnels, n'ont pas tout à fait tort. Les bévues commises depuis l'été dernier, s'écrivent sur l'airain.
D'après une source sûre, le comité de gestion de crise animé principalement, par Anouar Haddad, Raouf Guiga, et, trois autres personnes qui préfèrent s'exprimer sous le seau de l'anonymat, va monter au créneau. Plus question de laisser les choses traîner encore plus, et, des décisions doivent être prises, car, il y a super-urgence.
Hier soir, ce dit comité devait se réunir avec les représentants phares du bureau directeur, et, notre source nous avance, que l'intention générale est l'invitation de l'actuel président du Stade Tunisien à démissionner de ses fonctions. Faouzi Zehani, son premier second assurera l'intérim, et, se chargera de l'organisation d'une assemblée générale extraordinaire, et, une autre élective.
Il est triste de voir un club aussi prestigieux que le Stade Tunisien vivre cette crise, que nous jugeons la plus difficile de son histoire. L'état des choses ne peut pas perdurer, des changements s'imposent !