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Jean-Pierre Pernaut auteur de « Piège à Matignon » et présentateur du journal de 13h00 à TF1 au Temps.
Entretien
Publié dans Le Temps le 24 - 01 - 2013

« Il n'y a pas de secret à la réussite, iI y a du travail...beaucoup de travail, tous les jours ...! »
L'équipe de Tunis Fait Sa Comédie s'efforce de faire des soirées théâtrales, des moments inoubliables et espère avoir le plaisir de vous faire partager sa passion de la Comédie en programmant le 14 février, la pièce française « Piège à Matignon », au Théâtre municipal de Tunis.
Entretien
Jean-Pierre Pernaut auteur de « Piège à Matignon » et présentateur du journal de 13h00 à TF1 au Temps.
« Il n'y a pas de secret à la réussite, iI y a du travail...beaucoup de travail, tous les jours ...! »
L'équipe de Tunis Fait Sa Comédie s'efforce de faire des soirées théâtrales, des moments inoubliables et espère avoir le plaisir de vous faire partager sa passion de la Comédie en programmant le 14 février, la pièce française « Piège à Matignon », au Théâtre municipal de Tunis. Pour écrire et mettre en scène cette pièce, Jean Pierre Pernaut s'est fait aider par sa femme Nathalie Marquay, qui occupe un des premiers rôles, du dramaturge Jean-Claude Islert et du metteur en scène Eric Civanyan. Piège à Matignon est une pièce de théâtre française qui entraîne le spectateur avec humour dans les coulisses de la politique, aux prises avec les rumeurs les plus folles que rien ne peut arrêter. Et quand la vie privée s'en mêle...Claire et François, qui sont en couple, reviennent d'une soirée « costumée » qu'ils viennent de passer chez des amis. Le lendemain, François pense qu'il va être nommé prochain Premier ministre mais ses espoirs disparaissent lorsque Jérôme, un « ami », lui apprend que quelqu'un l'a pris en vidéo déguisé en femme au bord d'une autoroute et qu'il l'a mise sur YouTube. Le Président est déjà au courant, ce qui met à néant les chances de François d'être nommé... Il décide donc de se venger en créant un site internet qui va « tout balancer sur les politiques ». Le célèbre journaliste de TF1 Jean Pierre Pernaut a bien voulu se confier à notre collaborateur .

Le Temps : comment êtes-vous venu à l'écriture théâtrale ?
Jean-Pierre Pernaut : mon épouse Nathalie Marquay-Pernaut, ancienne Miss France et animatrice télé, est comédienne. Elle jouait en 2010 avec Alil Vardar (l'auteur du « Clan des divorcées »), une pièce qui s'appelait « Un couple parfait...enfin presque ». J'allais la voir souvent, j'ai découvert et adoré l'atmosphère du théâtre, la passion des comédiens. Et avec Nathalie, nous avons eu envie ensemble de créer notre propre pièce.
*Quel est le thème de « Piège à Matignon ?
-Nous mettons en scène, pour en rire, un premier ministrable dont la vie politique et privée est détruite par une sale rumeur sur Internet. C'est un phénomène qui fait des ravages depuis quelques années pour de nombreuses personnalités. Quand une rumeur est lancée sur la « toile », on a bien du mal à la stopper ! Et dans la pièce, on découvre à quel point les politiques eux-mêmes, même s'ils sont des « amis de trente ans », n'hésitent pas à utiliser ces rumeurs pour détruire leurs adversaires... C'est de la fiction bien sûr ....
*Est-ce que cela vous passionne de parler de politique. ?
-Ce n'est pas vraiment l'objectif de la pièce. Certes, on pénètre dans les coulisses de la politique, mais c'est d'abord Internet qui est le personnage central avec des situations cocasses, qui nous rappellent bien sûr des faits d'actualité tellement, la pièce s'en rapproche parfois.
*Internet, un phénomène qui vous inquiète ?
-Pas vraiment, car c'est un outil de communication extraordinaire. Mais il faut savoir faire le tri entre les sites sérieux et les autres ... C'est un apprentissage difficile pour les internautes. Beaucoup de sites malheureusement ne font que de la désinformation. Ce sont les « corbeaux de villages » d'autrefois dont les nuisances sont beaucoup plus graves car elles dépassent le cadre d'un village justement. Le monde est devenu un grand village avec Internet.
*Est-ce que les rumeurs tuent ?
-Elles peuvent tuer des carrières et briser des familles ou des couples. Et c'est ça le problème que nous soulevons avec humour dans la pièce. Car c'est d'abord un vaudeville pour faire rire et détendre le public.
*Vous avez écrit cette pièce avec votre femme et avec Jean-Claude Islert. Difficile d'écrire à trois ?
-Nous avons commencé avec Nathalie et Jean-Claude nous a rejoints. C'est un très grand spécialiste du vaudeville, auteur de dizaines de pièces à succès (« tiercé gagnant, auteur aussi de la série Maggy à la télé). Il nous a apporté le rythme et la technique de l'écriture théâtrale. C'est plus difficile sur une scène de faire rire que de faire pleurer ...
*Est-ce que vous comptez adapter votre pièce à la réalité tunisienne pour votre passage le 14 février à Tunis ?
-Non. Je crois que le monde dans lequel plongent les personnages de « Piège à Matignon » est typiquement français ! Il y a quelques mois, nous avons adapté notre texte aux changements intervenus en France mais on en rit toujours autant ! Et j'espère que ça fera bien rire le public tunisien, comme le public français d'ailleurs puisque la pièce a connu un très beau succès à Paris pendant les 6 premiers mois de 2012 au Théâtre du Gymnase puis au Théâtre Daunou, avant la tournée que nous venons de commencer.
*Comptez-vous écrire d'autres pièces ?
-Nous avons commencé avec Nathalie et Jean-Claude Islert à écrire une nouvelle pièce sur un thème de vie quotidienne. Je ne peux pas vous en dire plus pour l'instant.
*A la télévision, quel est le secret de votre réussite ?
-Il n'y a pas de secret. Il y a du travail, beaucoup de travail tous les jours pour proposer à 13 heures un journal de qualité. Je m'efforce d'être au plus près des préoccupations quotidiennes des gens qui nous regardent.
*Dans quelques jours, le 22 février, vous fêterez vos 25 années de journal. C'est un record... Comment expliquer une telle longévité ?
-Oui et j'en suis très fier. Un quart de siècle d'actualité, une équipe formidable à TF1... Et surtout, j'essaie de rester le plus « normal » possible. Je n'utilise pas de « téléprompteur », j'improvise la moitié de mes textes... Je suis naturel à l'antenne comme dans la vie et j'essaie de temps en temps de sortir de ce journal. D'où quelques livres sur les richesses du patrimoine de la France, et cette pièce où je prends un plaisir immense à voir vivre sur scène des personnages et une histoire que nous avons créés. Je fais aussi du sport (trophée Andros de course automobile sur glace). Et j'adore m'occuper de mon jardin ! Ça aide à garder la tête sur les épaules ...
Propos recueillis par : Kamel Bouaouina
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Littérature
« Autour de ton cou », par Chimamanda Ngozi Adichie
Une plongée dans la réalité du Nigeria d'aujourd'hui
Tour à tour tragiques et drôles, les nouvelles de Chimamanda Adichie racontent la violence, la brutalité, l'aliénation mais aussi l'amour, au-delà des différences ethniques et religieuses.
On ne présente plus Chimamanda Ngozi Adichie. La Nigériane s'est fait connaître en 2003 en publiant L'Hibiscus pourpre, qui raconte avec une surprenante économie de moyens et d'effets les heurs et malheurs de la classe moyenne de son pays. Le roman est aujourd'hui étudié dans les écoles du Nigeria en même temps que l'œuvre de Chinua Achebe, dont la jeune femme s'est inspirée pour écrire son premier roman. La légende veut qu'Adichie ait même grandi dans la maison où le père de la fiction anglophone africaine a vécu autrefois, dans le campus universitaire de Nsukka.
D'origine ibo comme son grand aîné et attachée comme lui à l'histoire de sa communauté, la jeune romancière a puisé dans la tragédie du Biafra, dont les partisans voulaient faire un « Iboland » indépendant, le matériau de son second roman L'Autre moitié du soleil (2006). Salué par la critique, ce livre à la tonalité épique a valu à son auteur le prestigieux prix britannique Orange. A mi-chemin entre l'histoire et l'autobiographique, ce roman a établi la réputation internationale d'Adichie, considérée comme l'une des voix majeures des lettres africaines anglophones contemporaines. Avec Chris Abani, Helom Habila, Sefi Atta et quelques autres, elle appartient à la seconde génération de romanciers nigérians qui ont pris la relève des Wole Soyinka et Chinua Achebe.
Un titre déroutant
Le troisième livre de la Nigériane qui vient de paraître en traduction française est un recueil de nouvelles au titre quelque peu déroutant : Autour de ton cou. Il faut attendre la septième nouvelle du volume qui en compte douze, pour comprendre la signification de cette formule énigmatique. Ce récit éponyme, écrit à la deuxième personne, met en scène la découverte des Etats-Unis par une jeune émigrée nigériane. Lauréate d'une loterie des visas, Akunna est venue s'installer seule aux Etats-Unis, loin de ses parents et ses proches. « La nuit, quelque chose venait s'enrouler autour de ton cou, une chose qui manquait t'étouffer avant que tu ne sombres dans le sommeil. »
Cette chose autour du cou d'Akunna s'appelle la solitude, la nostalgie, l'aliénation, des émotions qui tiennent la jeune femme prisonnière dans ce pays étranger où son destin l'a conduite. Vécue d'abord comme une chance, l'expérience de la migration tourne très vite au cauchemar pour la jeune Africaine qui doit lutter contre la concupiscence des hommes de sa communauté et l'incompréhension « crasse » dont lui témoigne son pays d'accueil.
« Beaucoup de gens te demandaient depuis quand tu étais venue de Jamaïque parce qu'ils croyaient que tous les Noirs qui avaient un accent étranger étaient jamaïcains. Ou bien, si certains devinaient que tu étais africaine, ils te disaient qu'ils adoraient les éléphants et avaient envie de faire un safari. » Akunna finira par rencontrer un jeune homme qui a quelques connaissances du vaste monde au-delà des frontières américaines. Il est le premier à ne pas la considérer avec condescendance. Pourra-t-il pour autant lui faire oublier son Afrique natale et surtout la débarrasser de cette chose « autour de (son) cou » ?
Le soleil de Lagos
Rien n'est moins sûr, si l'on en croit l'expérience de Nkem, protagoniste d'une autre nouvelle du recueil, qui explore avec des mots simples les tensions entre l'ici et l'ailleurs. Mariée à un businessman nigérian, la jeune femme vit aux Etats-Unis avec ses enfants, alors que son mari a fait le choix de partager sa vie entre son pays natal et son pays d'adoption. Pour ce dernier, avoir un foyer à l'étranger est aussi une question de prestige social. Il profite aussi de l'absence de sa femme pour installer chez lui à Lagos ses petites amies. L'épouse fidèle s'est adaptée à cet arrangement, mais « son pays lui manque », « le soleil de Lagos » aussi, même si « l'Amérique a fini par lui plaire, par enfoncer ses racines sous sa peau ». Nkem finira par retourner au Nigeria pour se réapproprier à la fois son pays et son mari volage.
L'émigration n'est pas la seule thématique abordée dans ces nouvelles. A travers ses personnages, notamment des personnages de femmes, tour à tour lumineux et tragiques, Adichie donne à voir une image infiniment complexe de la réalité nigériane d'aujourd'hui. Comme dans la nouvelle qui a pour cadre les violences intercommunautaires de Kano (Nord Nigeria) et où en marge de la brutalité et la terreur, se nouent des liens profondément humains et compassionnels entre une femme haoussa qui a perdu sa fille et une jeune chrétienne qui pleure la disparition de sa sœur.
Ciselées comme des diamants, les nouvelles sous la plume de cette talentueuse Nigériane témoignent d'une grande maîtrise de la narration, mais aussi de la langue anglaise fécondée par « la douceur duveteuse » des parlers locaux. (MFI)
Autour de ton cou, par Chimamanda Ngozi Adichie. Traduit de l'anglais par Mona de Pracontal. Paris, éditions Gallimard, 2013. 291 pages. .
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La Rachidia présente son programme
« Farha » par l'Ensemble Ranim
Cette année, La Rachidia a pensé diversifier son activité en incluant des salons littéraires et artistiques, et un club de Malouf, en les basant à Dar Lasram.
L'une des plus importantes activités de la Rachidia se trouve être son conservatoire, situé depuis des années à la maison de Dar Driba ; il offre un cursus de cinq ou six années assuré par les meilleurs enseignants aboutissant à l' obtention d'un diplôme de musique tunisienne ou de musique orientale via le Ministère de la Culture. La Rachidia vient de nous communiquer son programme d'activités qui auront lieu au cours du premier semestre 2013 :
JANVIER
Vendredi 25 : concert Farah par l'Ensemble Ranim au Théâtre municipal.
La Rachidia présentera le spectacle Farha à l'occasion du centenaire de l'artiste Kaddour Srarfi. Un spectacle assuré par le groupe Ranim, sous la direction de Mohamed Abdelkader Ibn Hadj Kacem , avec la participation de Rihab Sghaier et Sofien Zaidi
Le groupe Ranim a été fondé en 2007, regroupant une élite d'excellents musiciens qui se sont produits ces dernières années sur la scène artistique tunisienne. Il a participé à des manifestations importantes dont :
-Des musiciens de Tunisie, première session en mai 2007 au centre des musiques arabe et méditerranéenne.
-Spectacle d'ouverture au festival international de Carthage à la 43ème session en juillet 2007.
-Clôture de la manifestation : Musiciens de Tunisie, 2ème session en mai 2008 au centre des musiques arabe et méditerranéenne.
-Festival du printemps de la musique au centre culturel international d'Hammamet en 2008.
-Manifestation : Kairouan, Capitale culturelle islamique en 2009.
-Clôture du festival international du Malouf à Testour en 2010 .
Le groupe Ranim invitera à l'occasion, deux chanteurs, Rihab Sgaier et Sofien Zaidi, qui ont brillé ces dernières années en comptant de multiples participations nationales et internationales comme chanteurs solistes.
Les musiciens sont : Sahbi Mustapha: ( Luth), Nawfel Manee: (Nay), Lamjed Rhaim (Violon), Slim Jaziri ( Kanun), Lotfi Raies ( Contrebasse), Mohamed Abdelkader Ibn Hadj Kacem( Percussion), et direction de la troupe.
Choristes :Hamdi Amor, Walid Hakiri, Mohamed Ali Zaidi, Dorra Arbib, Ines Jalouli et Rabeb Abdellaoui
FEVRIER
Vendredi 1 : conférence assurée par le Pr Mahmoud Guettat sur La musique arabo-andalouse: « l'empreinte du Maghreb ».
Vendredi 8 : malouf par la Troupe de Bizerte.
Vendredi 15 : salon de la Rachidia : rencontre avec Abdelkarim Shabou
Vendredi 22 : concert « Anbar Al Layl » de Fethi Zghonda, au Théâtre municipal.
Mars
Vendredi 1 : malouf par la Troupe du Kef
Vendredi 15 et Samedi 16 : colloque international sous le thème « L'intonation musicale locale ».
Vendredi 22 : salon de La Rachidia : rencontre avec Adem Fethi
Dimanche 29 : concert « Mina An Nawa » de Lassaad Zouari , au Théâtre municipal.
Avril
Vendredi 5 : malouf par la Troupe Bachraf du Japon
Vendredi 12 : conférence de Ali Louati autour de son dernier livre :Musique de Tunisie.
Vendredi 19 : concert « Asbahan » sous la direction de Abdelkarim Shabou au Théâtre municipal.
Vendredi 26 : rencontre avec Adnen Chaouachi.
Mai
Vendredi 10 : conférence avec Lassaad Zouari autour de son livre « Tbou Tunsiyya ».
Vendredi 17 : malouf par la Troupe de Testour.
Vendredi 24 : rencontre avec Habib Mahnouch.
Vendredi 31 : concert « Samaa Toûnsi » sous la direction de Slim Baccouche au Théâtre Municipal
Juin
Vendredi 7 : concert hommage à Taher Gharsa sous la direction de Zied Gharsa au Théâtre municipal
Vendredi 14 : conférence de Mokhtar Mostaysar sur la naissance de La Rachidia
Vendredi 21 : gala de clôture avec l'Ecole de la Rachidia


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