Maintenant que les lampions de ce singulier play-off se sont éteints, que cet exercice est entré dans les annales, que les lauréats ont été définitivement sacrés, les conclusions idoines doivent être tirées avec beaucoup de courage, de lucidité voire de fermeté. Car il ne s'agit plus d'opter pour les demi-mesures, les solutions de replâtrages. Tarek Dhiab en sportif confirmé et maitrisant à fond la caisse le dossier de notre sport roi doit s'investir à 200 à l'heure dans l'affaire pour assainir cette ambiance délétère, pourrie sentant la puanteur à des milliers de la ronde. Seul le bistouri est payant Dans une approche antérieure titrée : Thérapie erronée (voir Le Temps du 28 mai) nous avions avancé que la solution radicale pour éradiquer le fléau gangrénant notre arbitrage ne consistait nullement à adjoindre à Hichem Guirat Aouaz Trabelsi présent à Radès (EST-ESS) et autre Jamel Baraket. Wadï Jery s'est lourdement fourvoyé en optant pour ce choix ô combien tardif soit par manque de courage soit par crainte de certains centres de pression…Mais Tarek gardant jusque là ses distances, observant en silence ces piteuses, grotesques et non moins pathétiques mascarades , devrait ou plus exactement « doit » maintenant que le mal est fait, que la (DNA) a atteint « partiellement » son objectif… Tarek doit agir en un Homme courageux. Il doit prendre le taureau par les cornes et frapper un grand coup dans la fourmilière. Plus de place pour les brebis galeuses, les fruits pourris, pour ceux qui mangent à tous les râteliers, les vils calculateurs pions dociles telles des marionnettes manipulées par certains centres d'influence. Place nette de grâce Tarek, du sang nouveau à transfuser dans ce corps d'arbitrage à l'agonie, exsangue, voire cruellement atteint d'une leucémie (cancer du sang) où seule une exsanguino-transfusion a des chances de le sauver d'une mort certaine. La balle est désormais dans le camp de la tutelle et l'histoire retiendra le coup de balai de Tarek Dhiab nettoyant jusqu'à dans ses plus sombres recoins les arcanes d'une (DNA) moribonde.
M.S.R.
----------
Démarrage du «FEI Jumping challenge 2012» d'Equitation Après le sucès rencontré l'année dernière à Tunis par le concours équestre « FEI Jumping challenge 2012 », la fédération Tunisienne des sports Equestres, et le centre d'animation Equestre Tunis Belvédère, sont revenus cette année à la charge, en lançant le premier salon du cheval et de l'Equitation en Tunisie dans la période qui s'étale entre le jeudi 30 mai et le dimanche 2 juin 213, La cérémonie d'ouverture a été précédée par une conférence de presse tenue par, Ahmed Marrakchi, directeur du salon durant laquelle il a présenté le programme de cette manifestation d'envergure internationale, dont l'organisation (infrastructures, aménagement spatiale et épreuves) répond parfaitement aux normes fixés par la Fédération Equestre Internationale (FEI). Selon ce passionné des chevaux, la manifestation comprendra un Concours FEI Jumping Catégorie B ; un concours complet, composé de trois épreuves (cross, obstacle et dressage); concours Attelage; une compétition de horse Ball ; un concours d'équitation traditionnelle ; un concours d'hippothérapie et de maréchalerie ; un concours modèle et allure de chevaux barbes et pur-sang arabes… En marge des concours et des épreuves, des spectacles (la nuit du cheval) sont également prévus, à l'instar du spectacle d'équitation traditionnelle « Fantasia» ou le spectacle de la Cavalerie Militaire du Régiment d'Honneur. Même les enfants ne seront pas en reste. Amis des équidés, les têtes brunes auront droit, lors de cette manifestation, à des séances d'initiation au sport équestre avec un baptême poneys, découverte du cheval et de l'équitation… Selon les organisateurs ce Salon du Cheval et de l'Equitation se veut aussi une occasion pour promouvoir les races de chevaux et les équipements équestres (équipements pour cavaliers et chevaux) et d'exposer en même temps les modèles des anciennes calèches.