Dans notre parution d'hier relative au désistement des deux listes pour les élections prévues pour le 20 juillet, nous nous interrogions en substance sur l'état du mental du groupe en ces termes : « Ces interrogations et bien d'autres taraudent tous les esprits et Hammam-Lif et ne versent nullement dans l'intérêt du club avec des joueurs et un staff gagnés par le doute, l'incertitude en pleine période de préparation où la concentration devrait être au summum, à son apogée... » Nous ne croyions pas si bien dire du moment que les joueurs complètement déboussolés et ne sachant plus sur quel pied danser avec une gouvernance aux abonnés absents et prenant de l'eau de toutes parts, entrèrent en grève. Très en colère et nullement rassurés quant à leur avenir, on le serait à moins, ils enclenchèrent donc ce débrayage histoire de mettre leur BD devant ses responsabilités. Fadhel Ben Hamza arrondit les angles Suffisant pour que le vice-président en exercice fort de l'aval et du soutien de son président Adel Daâdaâ, prenne les choses en main. Réunion en urgence avec les troupes et engagement ferme de sa part de tout régler dans les 48h avec toutes les ardoises gommées et tous les arriérés épongés. Reprise donc du travail au grand soulagement d'un Gérard Buscher voyant d'un très mauvais œil pareil cassure dans sont travail au moment où la vitesse de croisière commence à être atteinte. Serait-ce un signe prémonitoire ? Cette mini-crise rapidement jugulée par le duo Daâdaâ- Ben Hamza serait-elle annonciatrice d'un revirement de 180° dans la décision de Ben Hamza de retirer sa candidature des futures élections ? Tout porte à le croire mais n'allons pas trop vite en besogne et attendons les prochaines journées pour être définitivement édifiés sur les intentions des uns et des autres. Affaire à suivre.