Julian Assange, le porte-parole de WikiLeaks, s'en est violemment pris à un groupe d'organisations non-gouvernementales, rapporte le Wall Street Journal. Objet du conflit : une lettre, envoyée à WikiLeaks par Amnesty International, Civic, le bureau afghan de l'International Crisis Group et d'autres organisations. Le courrier, qui n'a pas été rendu public, s'inquiète des risques que fait courir aux Afghans qui travaillent avec les forces de la coalition la publication de dizaines de milliers de rapports de l'armée américaine en Afghanistan. Lire la suite Des humanitaires critiquent à leur tour WikiLeaks