La présidente de la commission des droits et libertés à l'ARP, Bochra Belhaj Hamida, a critiqué le rythme effréné des débats sur les articles du projet de la loi de lutte contre le terrorisme, qui ne prendra, donc, pas en compte les droits et libertés mentionnés dans la Constitution « Je ne veux pas que les tunisiens pensent que seule cette loi résoudra le problème». Bochra Belhaj Hamida aurait même évoqué la possibilité de démissionner de la présidence de la commission ou l'abstention lors du vote.