Intervenu, mardi, sur RTL, le ministre de la Justice, Mohamed Salah Ben Aïssa, a affirmé que « le droit à la réparation est un droit reconnu par à la fois le droit tunisien et la jurisprudence tunisienne, si les victimes arrivent évidemment à prouver toutes les conditions d'engagement de cette responsabilité de l'Etat ». Il a ajouté comprendre les motivations de la famille française qui aura gain de cause si les faits rapportés sont avérés.