Le conseiller militaire du président égyptien, Al Sissi, a annoncé que les militaires voulaient, au début de la crise syrienne, étudier une stratégie pour calmer la situation en Syrie, en proie à un début de guerre civile. Mais le président islamiste à l'époque, Mohamed Morsi, a refusé toute action dans ce sens, et leur a déclaré que la position de l'Egypte va s'aligner sur celle des frères musulmans qui s'étaient réunis à Doha et ont décidé de financer l'armée syrienne libre, et de les faire entrainer par l'armée égyptienne, en Egypte. Ce projet a été avorté suite à l'arrestation de Morsi.