Suite à l'immolation d'un jeune homme à Kébili déçu par la non libération de son frère samedi 14 Janvier 2012, parmi les détenus graciés. Un mouvement de protestations a été entamé le soir, obligeant les forces à intervenir. Les policiers ont fait usage de bombes à gaz lacrymogènes pour disperser les protestataires. Les sources de TunisieNumérique ont appris que quelques dizaines de personnes sont rassemblées, actuellement, dans les rues de la ville dénonçant l'intervention des forces de l'ordre et l'utilisation des bombes à gaz lacrymogènes.