A la suite de l'assassinat du coordinateur général du Courant populaire Mohamed Brahmi, membre de l'Assemblée nationale constituante (ANC), le président de la république provisoire, Mohamed Moncef Marzouki a, dans une intervention télévisée jeudi, condamné ce crime odieux qui selon ses propos "vise à semer la zizanie et à faire sombrer le pays dans la discorde".