Pour Imed Daïmi, Secrétaire général du Congrès pour la République (CPR), un des partis de la coalition tripartite au pouvoir, "il n'y aurait aucun mal à ce que l'initiative de l'UGTT serve de point de départ pour un dialogue national et non de point d'arrivée", estimant que le dialogue en question doit être "sérieux, responsable et souple, de manière à pouvoir donner lieu à des résultats acceptables pour tous..."