Le président du Centre d'études sur l'islam et la démocratie, Radhouane Masmoudi, a estimé que "la plus grande erreur commise par le gouvernement issu des élections du 23 octobre et avec lui l'Assemblée nationale constituante est d'avoir laissé en souffrance la loi sur la justice transitionnelle et de ne pas l'avoir promulguée dès les premiers mois, d'autant que, selon lui, cette loi était censée représenter "la vraie et seule voie passante vers la réconciliation nationale"...