"Maintenant que le choix s'est porté sur un nouveau chef du gouvernement, la légitimité électorale déjà en fin de parcours à cédé la place à une légitimité consensuelle", selon le dirigeant du Mouvement Nidaa Tounès, Mohsen Marzouk, considérant que "la Tunisie est entrée dans une troisième étape de transition"...