"Il n'y a pas assez de projets en Tunisie. Les tunisiens attendent trop de l'Etat et des entreprises publiques. Ils doivent adopter de nouveaux réflexes, en optant pour la création de leurs propres projets, lesquels permettront de générer de nouveaux emplois", a indiqué le vice-président de la Banque Européenne d'Investissement (BEI), Philippe de Fontaine-Vive.