TUNIS, 12 déc 2009 (TAP) - La revue hebdomadaire libanaise "Assayad" a consacré, dans son numéro du mois de décembre, un long article à la Tunisie, sous le titre "Grâce au Président Zine El Abidine Ben Ali et à son épouse Mme Leila Ben Ali, la Tunisie verte est un modèle civilisationnel avancé à l'échelle mondiale". Dans cet article agrémenté d'un portrait du chef de l'Etat et d'une photographie de son épouse, Mme Leila Ben Ali, la revue "Assayad" fait la lumière sur les nombreuses réalisations accumulées par la Tunisie, tout au long des années du Changement ainsi que sur les progrès qu'elle a accomplis dans tous les domaines. Dans l'introduction de cet article de quatre pages, il est écrit que "...les réalités vécues par l'Etat tunisien, durant ces dernières années, confortent la conviction que nous nous trouvons face à un modèle civilisationnel avancé, illustré par l'essor remarquable connu par le pays dans tous les domaines et secteurs, ce qui a eu un impact des plus positifs sur les citoyens qui ressentent que leurs efforts sont récompensés et que la direction du pays les mènent à bon port, en dépit des bouleversements politiques, économiques et sociales qui secouent la scène internationale". Stabilité politique et sociale La revue hebdomadaire ajoute que la direction de la Tunisie a su, depuis l'avènement du Changement du 7 novembre, et grâce à sa sagesse, prémunir le pays contre les crises, lui assurant, ainsi, la stabilité politique et sociale qui s'est reflétée de manière positive dans tous les aspects de la vie, faisant observer "que le mérite revient, dans tout ceci, aux idées du Président Zine El Abidine Ben Ali et à son souci à ce que la Tunisie demeure un modèle aux niveaux régional et international". "Assayad" relève que tous les Tunisiens et les arabes qui suivent de près les avancées enregistrées par la Tunisie sont conscients du fait que l'image radieuse dont jouit l'Etat tunisien aux plans local, régional et international, est le fruit des efforts continus déployés par la direction tunisienne pour réaliser la croissance, assurer la sécurité et concrétiser les aspirations des nouvelles générations tunisiennes. Le journal ajoute que l'un des fondements de l'image civilisationnelle avancée de la Tunisie est que Mme Leila Ben Ali se dresse aux côtés du chef de l'Etat avec toute l'énergie et les forces dont elle est capable pour servir le pays, soulignant les efforts déployés par l'épouse du président de la République dans le cadre du processus du Changement du 7 novembre. La revue met, dans ce cadre, en relief la responsabilité dont fait preuve la femme tunisienne qui assure des rôles majeurs dans tous les domaines et à tous les niveaux, des rôles qui lui ont permis de participer à la réalisation de l'essor de sa patrie et au renforcement de l'image de la Tunisie auprès des différentes instances internationales. Des réussites dans les différents domaines politique, économique, social et culturel L'hebdomadaire libanais a passé en revue, chiffres et indicateurs à l'appui, les réussites enregistrées par la Tunisie dans les différents domaines politique, économique, social et culturel, indiquant que le Président Zine El Abidine Ben Ali veille à ce que le citoyen tunisien puisse avoir une participation effective dans la vie politique, "qu'il devra exercer en toute conviction et dans un cadre de liberté, qui respecte l'Etat et les autres, tout en étant garantie par la loi". La revue écrit, d'autre part, que le Président Ben Ali est très attaché à la démocratie, en témoigne la présence de 37 représentants des cinq partis de l'opposition dans la Chambre des députés, soit un taux de 25 pc de l'ensemble des députés, ce qui a fait que le pluralisme soit une réalité palpable dans la composition de la Chambre. L'hebdomadaire libanais cite, dans ce contexte, la réaffirmation par le chef de l'Etat en maintes occasions et dans plusieurs discours qu'il n'y a plus de place en Tunisie pour la pensée unique et que le pluralisme est un choix politique irréversible. "Assayad" ajoute que la liberté responsable est le cadre idoine dans lequel les Tunisiens exercent leurs droits, y compris ceux politiques, précisant que l'ouverture de la Tunisie est unique en son genre dans son environnement régional. S'agissant du domaine économique, l'auteur de l'article affirme que, loin des théories et des slogans creux, les chiffres sont là pour attester de l'essor remarquable connu par la Tunisie, précisant que le développement économique et l'augmentation des opportunités d'emploi pour l'ensemble des Tunisiens, en plus des politiques d'incitation et d'encouragement à l'amélioration de la production, aux plans qualitatif et quantitatif, et l'ouverture de nouvelles perspectives de production, sont autant de facteurs qui ont contribué à l'augmentation du revenu par habitant qui est passé de 960 dinars tunisiens avant l'avènement du Changement, à plus de 5 mille dinars, au début de l'année 2009. Le citoyen tunisien est le principal investissement La revue libanaise ajoute en écrivant que l'être humain tunisien étant le principal investissement, les domaines sociaux ont connu une évolution notable, ce qui a fait que le taux de pauvreté soit maintenu à hauteur de 3,9 pc et que plus de 80 pc des familles tunisiennes soient propriétaires de leur logement, outre la préservation de l'environnement et l'encouragement de l'agriculture et du boisement, le citoyen tunisien bénéficiant d'une moyenne de 15 mètres carrés d'espace vert, une moyenne des plus élevées au monde. "Assayad" note que la direction tunisienne s'emploie à accorder tout l'intérêt requis à l'élément humain, durant ses différents cycles de vie, afin qu'il ait le sentiment de vivre dans un pays qui le protège et qui veille sur sa personne, soulignant la sollicitude constante dont bénéficie le citoyen tunisien, depuis son jeune âge, une sollicitude qui se traduit à travers les importances réalisations accomplies au profit de l'enfance et les grands moyens fournis aux élèves et aux étudiants pour poursuivre leurs études dans les différentes spécialités qui répondent aux besoins du marché de l'emploi et aux exigences d'une vie développée économiquement et scientifiquement. "Assayad" relève que la jeunesse occupe, en Tunisie, une place privilégiée dans le projet civilisationnel du Changement, laquelle place se traduit par la forte volonté affichée d'engager, avec cette catégorie, un dialogue constructif, d'être, constamment, à l'écoute de ses préoccupations et de l'associer aux affaires publiques. La revue passe en revue, à ce propos, une série de mesures pratiques prises en faveur des jeunes, notamment, la décision présidentielle portant création d'un parlement propre à cette frange sociale. L'hebdomadaire relève, à ce propos, que la Tunisie a vécu, tout au long de l'année 2008, au rythme d'un dialogue avec les jeunes, qui a abouti à la signature d'un pacte national qui résume l'ensemble des aspirations de la jeunesse tunisienne, toutes sensibilités idéologiques confondues. "Assayad" indique que le Président Ben Ali a couronné cette importante initiative en appelant à proclamer l'année 2010, année mondiale de la Jeunesse, au cours de laquelle se tiendra une conférence internationale de la Jeunesse, sous l'égide de l'ONU et avec la participation de l'ISESCO. La revue souligne, d'autre part, l'attention accordée aux personnes âgées, en Tunisie, notamment, aux plans médical, social, matériel et moral, mettant l'accent sur la mission accomplie par les centres de protection des personnes âgées, installés dans toutes les régions du pays, ainsi que le souci personnel du Président Zine El Abidine Ben Ali et de son épouse Mme Leila Ben Ali de se rendre à ces centres, d'inspecter les conditions de leurs pensionnaires et de s'assurer qu'ils reçoivent l'attention requise, ce qui est de nature à refléter la solidarité et l'entraide qui prévalent dans la société tunisienne. Après avoir relevé l'importance que le Président Ben Ali attache à l'environnement dans sa politique, la revue libanaise met en valeur le rôle de premier plan que joue la femme tunisienne dans la réalisation du progrès du pays. La femme, une soupape de sûreté, un élément de sérénité et un symbole de modernité et de progrès La revue fait remarquer que le président de la République considère la femme, comme étant "une soupape de sûreté, un élément de sérénité et un symbole de modernité et de progrès", et qu'il a, de tout temps, veillé à en renforcer la présence dans les postes de décision. La revue précise, à ce sujet, que le nouveau programme électoral du chef de l'Etat s'est fixé pour objectif de hisser ce taux à 35 pc, au moins, contre 30 pc, actuellement. La revue indique que Mme Leila Ben Ali veille à ce que la femme tunisienne soit un partenaire à part entière de l'homme, dans l'édification de la société, tout en assumant de lourdes responsabilités nationales. De plus, ajoute l'hebdomadaire, Mme Leila Ben Ali oeuvre, inlassablement, à garantir les droits de la femme tunisienne et s'emploie, à travers sa présidence de l'Organisation de la femme arabe (OFA), à ce que l'organisation soit, constamment, à l'avant-garde des parties qui veillent à promouvoir la condition de la femme et à en renforcer la contribution au façonnement du présent et de l'avenir de la Nation arabe. "Assayad" rappelle, également, les multiples acquis accomplis par la femme tunisienne, au cours des dernières années, et plus précisément, depuis l'avènement du Changement du 7 novembre, aussi bien dans le domaine de l'éducation que dans les secteurs des arts et de la créativité. L'hebdomadaire libanais relève, en conclusion, que le Président Zine El Abidine Ben Ali s'emploie à instaurer des relations développées avec les pays frères et amis et à contribuer, sur la base des constantes de la politique tunisienne et du rôle de la Tunisie en tant que partenaire actif sur la scène internationale, à traiter les questions essentielles qui intéressent l'homme contemporain, telles que l'environnement, la santé et les affaires sociales, au premier rang desquelles figurent la lutte contre la pauvreté et l'éradication de la famine, tout en s'appuyant sur l'approche tunisienne initiée dans ce domaine, "une approche qui pourrait être érigée en modèle dans le monde", selon la revue.