Qui l'aurait cru ? Mais selon, les experts, ce n'est guère étonnant en ces temps là et chez les poètes et écrivains du monde. C'est peut-être le cas de l'écrivain anglais, Shakespeare qui aurait été un consommateur de cannabis, comme le font sentir, certains de ses écrits. «Roméo et Juliette» a-t-il été écrit sous l'influence du cannabis? Mystère des pipes à tabac retrouvées dans le jardin de sa maison de Stratford-upon-Avon ont été analysées. Le dramaturge anglais William Shakespeare se droguait-il, ou ne se droguait-il pas ? Là est la question, depuis que des experts sud-africains ont révélé la présence de traces de cannabis et de cocaïne, en moindre quantité, dans des pipes à tabac supposées lui avoir appartenu. Près de 400 ans après sa mort, elles contenaient encore des traces de cannabis, mais aussi de cocaïne dans de plus faibles quantités, selon The Independant. L'utilisation de drogue par l'auteur d'«Hamlet» n'est pas réellement une surprise. Il y fait notamment référence dans le 76ème de ses Sonnets, utilisant le mot anglais «weed», qui permet de qualifier l'«herbe». Il parle de création sous son influence. Plus loin, il prend également soin de noter qu'il ne voudrait pas être associé à un certain type de «mélange». La formulation, en anglais, laisserait penser qu'il évoque alors la cocaïne.