Nulle ne peut nier aujourd'hui, les mesures prises en faveur de l'emploi des diplômés de l'enseignement supérieur, le mécanisme de l'SIVP (stage d'insertion à la vie professionnelle) en est le plus grand exemple. Ce mécanisme, qui exonère les entreprises, qui recrutent des diplômés de l'enseignement supérieur, des charges sociales et fiscales, pour la première année à partir de la date de la signature du contrat, a démontré son efficacité, de plus en plus d'entreprises adhérent à cette formule, surtout pour les postes ne nécessitant pas un « back ground » professionnel pointu. En ce sens, les autorités de tutelle, pourraient-elles réfléchir à un mécanisme similaire, pour encourager le travail à domicile ou le « télétravail » ? Surtout que le concept de télétravail se développe à grande vitesse dans les pays occidentaux. Il faut envisager une réduction des charges sociales, pour les entreprises qui emploient des télétravailleurs, ne serait ce qu'en réduisant le taux d'accident de travail, que chaque entreprise paye trimestriellement à la caisse nationale de sécurité sociale, puis ce que le télétravail est différent du travail classique (qui nécessite la présence de l'employé au bureau). Je pense qu'il faut réellement y penser, car je suis persuadé que la formule du télétravail pourrait considérablement contribuer à la baisse du taux de chômage. F.E. Réaction à l'article : Le télétravail Contact : [email protected]