1. L'effet change dans la compétitivité prix
Bien que la compétitivité des exportations tunisiennes est conditionnée par les effets de revenu liés à la demande étrangère, il n'en demeure pas moins qu'elle demeure aussi largement tributaire de (...)
La dépréciation compétitive du dinar tunisien: solution pour la compétitivité-prix des exportations ou cause du déficit commercial chronique ?
Alors même que la viabilité de la dette extérieure est principalement contrainte par la dépréciation du (...)
Les contraintes externes du pilotage macroéconomique : Un niveau d'endettement optimal est-il souhaitable?
Il n'en demeure pas moins qu'on doit évoquer la question du niveau d'endettement optimal pour la Tunisie. Une lecture rétrospective du (...)
Les contraintes externes du pilotage macroéconomique : Contraintes de financement du plan Jasmin
Le programme de développement économique et social pour le quinquennat 2012- 2016, présenté la première fois en juillet 2011 à Bruxelles lors de la (...)
Les contraintes externes du pilotage macroéconomique
Les vulnérabilités du secteur extérieur en Tunisie restent circonscrites au niveau de la dette extérieure. Du fait que la part des emprunts contractés à des taux d'intérêt variables s'est (...)
Les signaux apparents de vulnérabilité de la dette externe
Les arguments d'autorité souvent invoqués par les instances internationales pour analyser la dette extérieure de la Tunisie la qualifie comme présentant de faibles risques dés lors qu'en (...)
Endettement extérieur et facteurs de vulnérabilité : Diagnostic et paramètres de l'endettement externe
Plusieurs indicateurs sont utilisés pour analyser la dette externe incluant le concept de stock de la dette et le concept de service de la (...)
La situation économique de la Tunisie révolutionnaire, ses perspectives et les conditions de la reconstruction de son schéma de croissance suscitent débats et propositions stratégiques.
Si les arguments développés n'ont jusque là concerné que la (...)
Le recours à l'endettement externe est justifié par deux faits stylisés latents de l'économie tunisienne. Le niveau de l'épargne nationale ne permet à de financer les besoins d'investissements nécessaires à la réalisation des objectifs de croissance (...)
La mobilisation de nouvelles ressources pose trois questions fondamentales qui ont trait à (i) la solvabilisation optimale des encours déjà existants, (ii) la soutenabilité des projets programmés et de la nouvelle dette à contracter et (iii) la (...)
La dette extérieure à moyen et à long terme de la Tunisie est estimée, à fin 2010, à 23 600 millions de dinars représentant 37,1% du PIB (1):
Il faut à ce titre distinguer entre la dette publique (contractée par l'administration) (3) et la dette (...)
Le recours à l'endettement externe dans la période actuelle semble incontournable au vu, non seulement des difficultés conjoncturelles liées à la transition démocratique mais aussi aux aspects structurels de déficits de l'épargne domestique et de la (...)
Au niveau des politiques monétaire et de financement bancaire, les manifestations de la situation économique dans la phase de post-révolution de janvier 2011 en Tunisie se sont caractérisées essentiellement par une progression de la masse monétaire (...)
Dans le secteur on-shore, près de 97,8% des entreprises tunisiennes (tous secteurs confondus) se classent dans la catégorie des PME-PMI. La principale conséquence est que leur capacité à obtenir des financements pour leurs opérations commerciales (...)
Le financement bancaire des entreprises tunisiennes est fondamental aussi bien dans la phase de démarrage qu'au cours des phases opérationnelles (besoins en fonds de roulement, investissements), si bien qu'en Tunisie, il demeure le moyen de (...)