Le directeur exécutif du Groupe Orange, Stéphane Richard, a précisé, à l'issue de sa rencontre avec le chef du gouvernement, Youssef Chahed, le 11 janvier 2018, que l'entretien a permis de faire un tour d'horizon des activités d'Orange en Tunisie, dans le secteur des télécoms ainsi que des perspectives d'avenir. «A cette occasion, j'ai confirmé au chef de gouvernement qu'Orange est très engagé dans ce pays, à travers ses investissements, à travers les emplois que nous avons créés, directs et indirects», a affirmé M. Richard.
S'agissant des perspectives, Stéphane Richard a souligné : «Nous sommes prêts à continuer à investir et à augmenter le niveau de nos investissements, pour apporter le très haut débit aux Tunisiens, en particulier par les réseaux mobiles, Orange ayant fait de l'internet mobile son axe prioritaire de développement, le moyen par lequel il cherche la différentiation par rapport à ses concurrents. Nous avons un avantage et un leadership qu'on veut renforcer par des investissements. J'ai évoqué aussi la possibilité de créer davantage d'emplois, au titre des autres activités d'Orange, notamment Sofrecom, créé en 2011 et qui compte actuellement 500 salariés ingénieurs hommes et femmes. La société a le projet d'augmenter ses effectifs dans les semaines qui viennent avec au moins 200 recrutements supplémentaires. Nous avons aussi décidé de créer une filiale de notre filiale Entreprise avec à la clé 300 emplois supplémentaires. Au total depuis 2011, Orange, hors Orange Tunisie, aura créé 1.000 emplois qualifiés pour les jeunes tunisiens diplômés du supérieur». Et d'ajouter : «Nous croyons dans les capacités de ce pays ainsi que dans la qualité et niveau de formation des diplômés du supérieur, on sait qu'il y a un enjeu majeur dans l'insertion des diplômés tunisiens et on est heureux d'y prendre une part non-négligeable».
Richard a tenu à spécifier que le groupe Orange «a été l'un des plus grands investisseurs internationaux dans ce pays avec environs 1 milliard de dinars».
