Les intérêts de certains hommes politiques, interfèrent avec la décision de ma libération. C'est ce qu'a déclaré Ali Seriati, ancien chef de la sûreté présidentielle de Ben Ali. Dans une déclaration accordée, lundi 7 octobre 2013, au journal Attounissia, Ali Seriati a souligné son refus de s'excuser pour un tort dont il n'est pas responsable, affirmant sa confiance en la justice tunisienne. L'ancien directeur de la sécurité présidentielle a indiqué qu'une tierce partie était derrière la déstabilisation du pays avant le déclenchement de la Révolution : « Cette partie civile a utilisé des armes de calibre 62. Il ne s'agit ni de l'armée ni de la sécurité tunisienne ».