Les dernières semaines ont été très chaudes à Bizerte et les Bizertins ne décolèrent pas qui multiplient les manifestations de colère contre des responsables « oublieux de leurs missions » mêmes les plus élémentaires. Ces derniers sont souvent accusés d'insouciance voire d'incompétence, ne serait-ce que dans leur aptitude à cerner les vraies difficultés et à définir les priorités. Les souvenirs sont encore vivaces sur le traitement réservé par les services concernés au site des « Grottes » et qui a suscité une forte émotion et mobilisé les forces conjuguées des associations et de la société civile. C'est ne citer qu'un seul exemple, car les problèmes de Bizerte-ville se comptent par centaines et la dernière semaine a été une occasion pour les composantes de la société civile d'aller les réexposer, pour la énième fois, aux autorités régionales. Un petit problème a été soulevé par les internautes bizertins, d'apparence anodine, si on le compare aux grandes questions de l'heure. Tellement anodin, d'ailleurs, qu'il a « échappé » à la vigilance des services de l'équipement. Encore eux ! Il s'agit de la main courante en tube métallique surmontant le garde-fou du pont de Sidi Salem, celui qui enjambe le chenal d'entrée au Vieux Port. Ce dernier a été complètement rongé par la rouille et a tout simplement disparu, sans que l'on ait cherché à le remplacer. Cette attitude agace les Bizertins qui trouvent là une nouvelle raison d'accumuler les griefs envers les services publics, coupables à leurs yeuxd'un laxisme « institutionnalisé » M. BELLAKHAL
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