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Quels enseignements peut-on tirer des attentats terroristes du 13 novembre à Paris et quelles actions entreprendre ?
Opinions
Publié dans La Presse de Tunisie le 27 - 11 - 2015


Par Boubaker BENKRAIEM(*)
Partant du principe qu'aucun pays n'est, entièrement et totalement, à l'abri des activités viles et ignobles des terroristes, il va de soi que les services de renseignement de toutes sortes doivent, en vue d'essayer d'anticiper le passage à l'acte de ces déséquilibrés, jouer le beau, l'important, le dramatique et le plus difficile des rôles. En effet, ne pouvant protéger, en permanence, chacun de nos concitoyens ou chaque lieu public, il devient assez aisé, pour des malintentionnés, ceux qu'on appelle les jihadistes, parce qu'ils ont l'initiative et le choix du lieu et du moment, de commettre toutes sortes d'actions illicites et condamnables. C'est pourquoi le renseignement est capital dans l'anticipation de toutes ces activités et son développement continu et la recherche opérationnelle dans ce domaine deviennent, de nos jours, absolument prioritaires. Aussi, on ne peut lésiner sur les moyens à fournir à ces services, qu'ils soient en personnels hautement qualifiés, en moyens technologiques sophistiqués, en esprit imaginatif des hypothèses les plus folles et en dépenses. De même, la coopération avec les services de renseignements des pays amis devient une priorité absolue.
J'ai été, personnellement, très conforté par la célérité de la réaction des forces de sécurité et surtout des Unités spécialisées sur les lieux des ignobles attentats de Paris qui ont été, par ailleurs, fort nombreux ce soir-là et surtout par les cent-cinquante perquisitions de la première nuit qui ont eu lieu quelques heures seulement après ces infâmes forfaits. Ceci prouve que les informations détenues par les services spécialisés quant à la domiciliation des personnes fichées ou douteuses étaient à jour, ce qui a permis leur très rapide arrestation parce qu'on ne leur a pas laissé ni temps, ni répit pour chercher des planques. Je suppose que l'ordre du procureur, seul à prescrire pareilles perquisitions, a été régularisé a postériori, s'agissant d'une question se rapportant à la sécurité nationale.
D'autre part, je salue tous les médias français, de quelque nature qu'elles soient (télés, radios, journaux, etc.), pour leur rôle positif et surtout responsable et qui ont été remarquablement dignes en ne montrant, malgré le nombre très élevé de morts et de blessés, même pas une seule goûte de sang. Cela est très important pour, au moins, quatre raisons :
1- D'abord par respect pour les morts et leurs familles.
2- Ensuite pour ne pas laisser l'ennemi utiliser et exploiter ces images pour sa propagande.
3- Et puis, en agissant ainsi, on ne fait, ni directement ni indirectement, l'apologie du terrorisme.
4- Enfin, on ne donnera pas l'occasion, à l'ennemi, de jouir en observant les résultats de son œuvre macabre.
D'autre part, nous n'avons pas vu les journalistes, les chroniqueurs, les experts, crier au scandale suite à ces perquisitions dont le nombre a dépassé, trois jours après les attentats, les quatre cent-cinquante domiciles. D'ailleurs, personne, en invoquant la question des droits de l'Homme, très à la mode par les temps qui courent et sujet très cher à certains de nos politiques, de nos associations et de nos médias, n'a manifesté quelque contestation. Cependant, certains parmi les nôtres et dans pareils cas auraient interpellé le gouvernement, non pas pour le féliciter quand il prend des initiatives, un peu musclées destinées à renforcer la protection des citoyens, mais pour le critiquer s'il lui arrive quelquefois d'enfreindre, un tant soit peu, les règles. A ces derniers, je voudrais rappeler la boutade du Premier ministre de sa gracieuse Majesté, M. Cameroun, lorsque deux policiers ont été tués par des terroristes : «Dans pareille situation et dans ces conditions, je m'en fous des droits de l'homme».
Cependant, comme la lutte antiterroriste est une guerre asymétrique, elle nécessite des techniques, particulièrement ingénieuses, élaborées et spécifiques. La spécialisation des groupes et des agents de ces éléments d'intervention est capitale, étant donné la rapidité et le danger des actions à entreprendre. Aussi, l'entraînement physique doit être similaire à celui d'un champion olympique et la dextérité dans le tir est plus qu'indispensable.
Suivant comme tout le monde la vie politique de certains pays européens qui nous sont proches, par l'histoire et par la culture, et notamment la France où nombreux jeunes concitoyens de ma génération ont passé, pour leurs études, quelques années dans ce beau pays, j'ai beaucoup apprécié le comportement des médias, du peuple et des gouvernants. Les premiers ont été d'une dignité remarquable à tous les points de vue. Que ce soit lors de la couverture de l'horrible événement aux différents endroits, ainsi que durant les reportages des déclarations des hauts responsables, ils ont tous été à la hauteur, démontrant un professionnalisme et une humilité dignes d'être signalés. Aucune remarque, insinuation, reproche ou critique à propos de l'intervention des différentes forces de sécurité n'ont été proférés. Au contraire, ce sont des déclarations de fierté, d'encouragement et de félicitations qui ont prévalu partout, par les citoyens, par les responsables, l'opposition politique comprise, et par le pouvoir représenté par le président de la République, par le Premier ministre et par le ministre de l'Intérieur. Les seconds, le peuple, a été remarquable d'humilité, de compassion, d'attendrissement, de sympathie et de discipline. Sa mobilisation spontanée était totale avec la marseillaise qui était partout chantée et le drapeau tricolore qui flottait aux quatre vents. Quant aux troisièmes, les responsables politiques et les gouvernants, ils ont tous appelé à l'Union sacrée de tous les Français en vue de combattre le terrorisme. Tous les partis politiques, mettant de côté leur différence et leurs différends, se sont comportés en responsables déterminés à lutter contre le terrorisme jusqu'à la victoire en approuvant les décisions du gouvernement quant au renforcement des services et des forces de sécurité.
Ce comportement, très digne, de toutes les parties, nous en avons bien besoin, chez nous car, faut-il le rappeler, surtout aux politiques, que nous sommes, nous aussi, en guerre, contre le terrorisme.
Comme les Français, nous sommes en guerre contre le terrorisme; mais sommes–nous aussi déterminés, aussi disposés, aussi disponibles pour nous engager comme un seul homme pour venir à bout de cette hydre et de ce fléau ? Allons-nous mobiliser tous les moyens humains autorisés par la Constitution, aussi bien l'ancienne que l'actuelle, pour fournir à nos unités combattantes et à nos forces de sécurité intérieure tous les moyens humains et tout l'appui dont elles ont besoin ? Allons-nous obliger les jeunes à être en règle vis-à-vis de leur devoir du service national ? Allons-nous, en fait et sérieusement, prendre le taureau par les cornes pour les briser et le rendre inoffensif ? Y a-t-il un responsable courageux, déterminé et capable de faire exécuter par la jeunesse ses obligations prescrites par la Constitution, le pays étant en guerre contre le terrorisme depuis plusieurs années ? Tout le problème est là ! Où avons-nous décidé de laisser l'armée et les forces de sécurité intérieure se débrouiller seuls avec les moyens du bord ?
Cependant, pour battre et venir à bout de cette hydre, je m'allierai avec le diable, au besoin, dans le seul but, de protéger la vie de nos concitoyens et de nos hommes des Forces de sécurité intérieure et de l'Armée et, pour ce faire, et en vue de renforcer nos services de renseignements, je n'hésiterai pas, un seul instant, à rappeler les cadres et les personnels de la direction de la sûreté de l'Etat dont la majorité a été mise à la retraite, avant l'âge, au lendemain de la révolution. Vu l'importance de cette spécialité et la longue durée que nécessite la formation de ces spécialistes, je rappellerai même ceux qui ont dépassé l'âge de la retraite, car l'intérêt national l'exige. Combien de fois cette question a été soulevée et rappelée sans qu'elle trouve, malheureusement, l'oreille attentive des gouvernants. Dommage et vraiment dommage.
D'autre part, nos concitoyens ont certainement remarqué que beaucoup de nos chaînes de télévision et certaines radios sont devenues des médias de faits divers, l'une présentant un cas dans lequel le frère de l'épouse est tué par son gendre qui était ivre, l'autre présentant la mère dont le fils a été tué par deux agents de sécurité en civil lors d'une rixe dans une boite de nuit, la troisième présentant un père qui dit avoir été menacé par des terroristes, la quatrième se plaignant que son fils a été violenté par la police, dans une ville de l'extrême sud-ouest tunisien, etc. Ce dernier cas peut être vrai mais l'affaire aurait pu, seulement, être présentée au procureur qui aurait sanctionné les fautifs et la radio n'aurait pas dû en faire un cas qui intéresserait nos concitoyens. Au contraire, il envenime les relations entre la police et la population alors que nous cherchons l'union sacrée dans notre lutte contre le terrorisme. Croyant faire le buzz, ces chaînes ne se rendent pas compte qu'en agissant ainsi, elles démoralisent et dépriment nos concitoyens dont certains, au courage discutable, vivront, en permanence, avec cette phobie, cette anxiété et cette épouvante inopportunes dans cette période que traverse notre pays. Aussi, ayons, s'il vous plaît, un peu de pudeur et de dignité dans cette période délicate que nous traversons, et ne cherchons pas à courir après l'audimat, et développons surtout les tables rondes et les discussions relatives à la formation civique, morale, patriotique. Un peu de pudeur et un peu de dignité, messieurs, nous n'avons pas besoin de montrer des vieilles mères et des épouses, en pleurs devant le cercueil du martyr, cette image étant diffusée aux quatre coins du monde et tant recherchée par le terroriste. C'est ainsi que nous faisons, sans le vouloir, l'apologie du terrorisme qui veut faire peur et se vanter de tout cela.
Cette situation de peur est pourtant vécue dans plusieurs de nos régions montagneuses et forestières par nos concitoyens vivant dans les zones où des terroristes ont été signalés. Ceux-ci, n'ayant plus suffisamment de pourvoyeurs logistiques ou les ayant perdus suite à leur arrestation par nos forces de sécurité ou par l'armée, se ravitaillent, parfois, de force, chez la population vivant à la lisière de la montagne ou de la forêt. Aussi, la demande de protection de cette population est légitime et compréhensible. D'ailleurs, nous ne souhaitons pas qu'elle quitte cette zone difficile et, pour le moment, assez dangereuse, et nous devons assister ces paysans qui peuplent ces régions pour qu'ils s'y maintiennent. Faut-il rappeler que nous avons proposé, il y a plus d'un an, d'implanter dans chaque région montagneuse et forestière une importante unité qui sera chargée de la défense et de la protection de la population qui y vit. Avec quelques moyens aériens, des technologies sophistiquées d'écoute et de vision nocturne et des volontaires parmi les citoyens munis de moyens téléphoniques dans chacun des douars ou villages et chargés de donner l'alerte en cas de besoin, l'intervention expresse de nos unités tranquillisera nos concitoyens habitant ces régions et les rassurera quant à leur sécurité. On peut facilement distinguer plusieurs régions concernées par cette implantation : 1- Les Khroumiries, 2- la région de Ghardimaou, 3- jebel Ouergha, 4- jebel Soudane et Aïn Zana, 5- Aïn Anègue (Kalaât Senan), 6- jebel région de Jelma, 7- jebel Chaâmbi, 8- jebel Semmama. L'implantation de ces unités doit faire l'objet d'une étude et d'un soin particuliers et ces forts ou postes de résistance à créer doivent être sécurisés et protégés par plusieurs rangées de barbelés électrifiées de nuit. Pour ce faire, il y a lieu de rappeler un renfort de 7 à 8.000 réservistes des toutes dernières classes pour constituer :
1 - Des unités territoriales dans ces régions montagneuses dont la mission principale serait de rassurer et protéger la population locale.
2- Des unités d'intervention engagées dans la recherche et la destruction de l'ennemi. Aussi, alors que les besoins nécessités par la lutte antiterroriste et par la présence de nos forces de sécurité intérieure et de notre armée dans toutes les régions du pays sont de plus en plus importants, nous constatons qu'une bonne partie de nos Forces de sécurité intérieure est mobilisée par une mission nouvelle qui se développe jour après jour, celle de la protection des personnes qui reçoivent des menaces. Cette mission nouvelle due au terrorisme diminue les capacités des forces de sécurité intérieure de plusieurs centaines de personnels dont nous avons grand besoin pour des tâches opérationnelles vitales pour le pays. Aussi, pourquoi ne pas utiliser la même procédure employée par plusieurs pays. Celle-ci se résume comme suit : l'Etat informe la personne menacée ou confirme les menaces reçues. Cette personne contacte, à ses frais et pour sa protection, une société de sécurité privée dont l'Etat doit autoriser la création de quelques-unes selon un cahier des charges. Elles doivent être dirigées par des anciens de l'armée, de la garde nationale ou de la police, à défaut par des personnes formées au préalable dans les écoles spécialisées reconnues. Elles doivent être servies par des anciens de l'armée ou de la garde nationale ou par du personnel formé à ce type de mission dans des écoles reconnues et contrôlées par l'Etat.
De même, nos médias que nous encourageons dans ce rôle chèrement acquis, celui de la liberté d'expression et d'avocat des pauvres, ces médias qui représentent le quatrième pouvoir, doivent jouer un rôle important et responsable dans la mobilisation des masses pour la défense du pays et dans son unité pour faire face à tous les dangers. Leur responsabilité est d'autant plus importante qu'ils doivent, à l'instar de nos frères algériens, rappeler, régulièrement, les sacrifices consentis par leurs grands-pères pour l'acquisition de l'indépendance, programmer des séances réservées à l'hymne national que près des trois quarts de la population n'en connaissent, au mieux, que le refrain, rappeler au peuple, et assez fréquemment, les événements historiques dont nous sommes très fiers et que les jeunes ne connaissent pas parce qu'ils n'en ont jamais entendu parler et surtout aux fonctionnaires et particulièrement aux enseignants l'honneur et le devoir de servir leur pays qui a besoin de nous tous pour se relever et évoquer, souvent, aux jeunes et aux moins jeunes, le fameux dicton de l'un des plus célèbres présidents des Etats-Unis d'Amérique, le président J.F. Kennedy qui a dit, lors de son investiture, en 1961 : «Ne demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, mais demandez surtout ce que vous pouvez faire pour votre pays» .
Beaucoup de cadres parmi nos concitoyens, par amour pour la patrie, et compte tenu de leur formation et de leurs expériences, et désireux de participer, un tant soit peu, au redressement rapide de notre pays, présentent, de temps à autre, grâce à notre grand quotidien La Presse dans sa rubrique Opinions des idées fort intéressantes. Mon souhait est que Messieurs le chef du gouvernement et les ministres concernés soient informés par leur service de presse de ces propositions ou suggestions, certaines pouvant aider à solutionner des problèmes et des sujets en discussion ou en attente et d'autres pouvant rappeler des questions importantes mais oubliées, les unes et les autres capables de présenter les prémices de solution aux difficultés rencontrées ou un gain de temps fort sérieux. Que Dieu protège la Tunisie éternelle...
*(Ancien cadre supérieur, ancien auditeur de l'IDN)


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