L'épreuve de gestion plus facile que celle de l'année dernière, d'après les candidats de la section économie-gestion. C'est par un temps chaud et ensoleillé que les bacheliers ont repris, hier, le chemin des centres d'examens pour passer cette semaine la suite des épreuves du baccalauréat. Les candidats de la section lettres ont planché, en ce début de semaine, sur l'examen d'arabe, les bacheliers des sections mathématiques et sciences expérimentales ont travaillé sur l'épreuve des sciences physiques, alors que les élèves de la section économie-gestion ont traité l'épreuve de gestion, une des matières principales de leur programme. La majorité des candidats, qui ont quitté l'établissement de la rue de Marseille après avoir passé en moyenne trois heures à s'appliquer à résoudre les questions, étaient dans l'ensemble satisfaits de leur rendement. L'épreuve des sciences physiques s'est déroulée sans anicroches pour les candidats des sections scientifiques qui l'on jugée abordable et sans difficulté majeure. Les matheux ont planché dans la partie de la physique sur le forcé mécanique, la radioactivité et les ondes et sur le PH et l'estérification dans la partie consacrée à la chimie. «L'épreuve de cette année est plus facile que celle de l'année dernière. Elle est à la portée et facile à traiter pour ceux qui ont travaillé régulièrement au cours de l'année et qui ont bien révisé le programme. Les exercices proposés qui portent sur le programme du premier et du second semestre ne présentaient aucune difficulté particulière. La plupart des candidats de la section mathématiques n'ont pas trouvé de problème pour les résoudre», a relevé Mohamed Naffaâ, un candidat de la section mathématiques du lycée de la rue de Marseille. Pas de mauvaise surprise non plus pour les candidats de la section sciences expérimentales qui appréhendaient l'épreuve des sciences physiques, craignant qu'elle ne soit aussi difficile et coriace que celle des mathématiques qu'ils ont passée la fin de la semaine dernière. La plupart ont poussé un ouf de soulagement en sortant de la salle d'examen après avoir planché pendant trois heures sur l'épreuve jugée facile et abordable. A l'instar des candidats de la section math, les bacheliers de la section sciences expérimentales ont eu également à résoudre un exercice sur le forcé mécanique et la radioactivité, ainsi que sur les ondes et le PH. «Nous avons travaillé sur une épreuve qui ne présente pas de difficulté particulière, a noté ce groupe de candidates rencontrées devant l'établissement. L'épreuve a pratiquement porté sur l'ensemble du programme. Nous avons déjà traité des exercices de ce type au cours de l'année. Nous espérons avoir une bonne note». Le moral était également au beau fixe pour les candidats de la section économie-gestion qui ont trouvé l'épreuve de gestion facile. Ces derniers ont traité de la gestion prévisionnelle des stocks, du calcul de la masse salariale, thèmes qu'ils ont étudiés au cours du premier trimestre. «J'ai trouvé l'épreuve facile et je n'ai pas eu de difficulté pour résoudre les exercices qu'on nous a proposés», a noté Mootez, candidat de la section économie-gestion qui a trouvé le sujet plus facile que celui proposé l'année dernière aux candidats du bac. Par contre, il semblerait que les bacheliers de la section lettres aient été soumis à une épreuve d'arabe difficile.