Ce soir, sur la scène du Festival international de Hammamet, Carlos Núñez, offrira un voyage exceptionnel vers les contrées lointaines où les instruments à vent lancent un appel à la vie. Dans le monde entier, Carlos Núñez est considéré comme un musicien extraordinaire, l'un des plus sérieux et des plus brillants... Son charisme, son énergie et son esprit pionnier l'ont rendu très populaire, lui qui repousse sans cesse les limites de ses instruments : la cornemuse galicienne — la gaïta — et les flûtes. A la sortie de son premier album solo, «A Irmandade das Estrelas» en 1996, Carlos était déjà un artiste reconnu dans le monde entier. Son second album «Os Amores Libres», sorti en 1999, où il explore les connexions entre la musique celtique et le flamenco, s'est vendu à plus de 250.000 exemplaires. Aujourd'hui, après trois années consacrées à l'étude des connexions entre les cultures galicienne et brésilienne, Carlos présente «Alborada do Brasil» en 2009. Carlos Núñez a vendu plus d'un million de disques à travers le monde et a été primé dans plusieurs pays. En Espagne, il a obtenu le Prix Ondas, récompensant le meilleur direct et deux nominations aux Grammy Latino. Il a été nommé Ambassadeur européen pour l'environnement... Il a joué à Rome pour le Pape devant deux millions de spectateurs... On dit de lui : «La seule star planétaire de la cornemuse» (François-Xavier Gómez, Libération), «Le nouveau roi des Celtes» (Manuel Rivas, El País), «Le Jimi Hendrix de la gaïta» (Scott Lewellyn, Billboard), «Le sonneur d'or» (Xabier Rekalde, El Mundo), «Artiste d'une musicalité remarquable et d'un talent intelligent» (Jan Fairley, Folk Roots), «Sonneur qui joue comme Coltrane ou Hendrix» (Bob Flynn, The Guardian)... Ses différents albums l'ont clairement établi en tant qu'artiste majeur de la world music internationale par sa capacité à effacer les frontières, à réunir des musiciens de pays et de styles différents et à créer une musique qui lui est propre, pluriculturelle et enracinée dans la tradition.