L'Etoile a besoin de Charfeddine. Ce dernier semble avoir saisi le message Il s'avère que le lien qui unit l'Etoile du Sahel à son président est des plus solides. Une idylle à la fois passionnelle et tourmentée. Il faut reconnaître que depuis l'annonce officielle, il y a quelques jours, de la décision de Ridha Charfeddine de ne pas se présenter pour un second mandat à la tête de l'Etoile, les proches du club n'ont pas renoncé à faire revenir le président sortant sur sa décision. A cet effet, nous avons appris de sources concordantes que Ridha Charfeddine aurait donné son aval pour renouveler son bail avec le club, surtout en l'absence de candidats pour la présidence de l'Etoile. Dans le souci de renforcer l'encadrement de l'équipe, essentiellement par des enfants du club, nous croyons savoir que le duo Jaziri-H Jenaïeh aurait proposé au caractériel et fougueux Saber B. Frej de réintégrer le staff administratif de l'équipe. La nature et les prérogatives de l'ex-arrière droit international seront ultérieurement déterminées. La victoire gâchée inexplicablement face à l'Espérance de Tunis dimanche dernier a laissé un goût amer chez toutes les composantes de la famille étoilée. Un nul frustrant qui a créé une certaine tension après le match. En effet, le technicien français a empêché les délégués de l'équipe Néjib Amara et Slim Dérouiche d'embarquer à bord du bus ramenant la délégation à Sousse après le match. C'était suite à un échange verbal entre le premier et le préparateur physique Taoufik Harzi ! Suite à cet incident, Amara et Dérouiche ont décidé de mettre fin à leurs missions respectives au sein du club sahélien. Tout cela est bien regrettable. Indignation à l'égard du geste de Kanzari Le milieu sportif sahélien a manifesté une très forte indignation, à l'égard du geste «obscène» du coach de l'EST, Maher Kanzari. Ce sentiment est d'autant plus ressenti que le comité directeur espérantiste n'a pas daigné présenter des excuses relatives à ce dépassement.