p class="p2" style="text-align: center; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 10px; line-height: normal; font-family: "Myriad Pro"; min-height: 13px;" p class="p3" style="text-align: center; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 15px; line-height: normal; font-family: "Myriad Pro";"12 mille subsahariens p class="p3" style="text-align: center; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 15px; line-height: normal; font-family: "Myriad Pro";"résident dans le pays Le directeur général de l'Observatoire national de la migration (ONM), Abderraouf Jmal, a déclaré, mercredi, que le nombre d'étrangers originaires des pays de l'Afrique subsaharienne résidant en Tunisie, est de 12 mille personnes parmi les 53 mille étrangers de différentes nationalités établis dans le pays. Dans une déclaration en marge d'une conférence de presse organisé à Tunis pour annoncer le lancement d'une enquête nationale sur les migrations internationales en Tunisie, Jmal a indiqué que cette enquête fournira des données précises sur les migrants, leurs particularités économiques, sociales et démographiques, ainsi que sur les itinéraires et circuits qu'ils avaient empruntés pour rejoindre la Tunisie, outre leurs plans d'avenir, en particulier ceux qui sont dans des situations précaires. Il a expliqué que l'enquête sera un point de départ pour le développement d'un cadre législatif régissant la migration en Tunisie qui soit adapté aux exigences et aux besoins des migrants, dont la garantie de leurs droits fondamentaux tels que le logement, la santé et le travail. r Ils sont nombreux à trouver refuge en Tunisie qui demeure, malgré quelques aléas, un pays où il fait bon vivre. p class="p3" style="text-align: center; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 15px; line-height: normal; font-family: "Myriad Pro";"La grogne des « assoiffés » p class="p3" style="text-align: center; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 15px; line-height: normal; font-family: "Myriad Pro";"à Mornaguia Des habitants de la Mornaguia ont fermé, mercredi, toutes les entrées vers la ville, à savoir l'autoroute, la RN n° 5 et la route locale n°576 reliant Mornaguia à Sidi Hassine. Les protestataires appellent au retour de l'approvisionnement en eau potable à partir du barrage de Béni Mtir avec le débit habituel. Ce mouvement de protestation a perturbé le trafic routier entrainant l'intervention des forces de l'ordre. Dans ce contexte, le gouverneur de la Manouba a souligné que les négociations avec les habitants se poursuivent depuis des jours, d'une manière pacifique, pour trouver les solutions adéquates à ce problème. Evoquant le faible débit et les perturbations d'eau au niveau de Mornaguia, le responsable a expliqué que des dégradations ont été observées au niveau des canaux d'approvisionnement de l'eau à partir de Béni Métir du côté de la localité d'El Griaat (gouvernorat de Béja). Les services du district de la Sonede ont été alertés pour réparer la panne. r Il est inadmissible de laisser des citoyens sans eau, en cette période de canicule, et les responsables de la Sonede sont payés pour l'éviter. p class="p3" style="text-align: center; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 15px; line-height: normal; font-family: "Myriad Pro";"Les journalistes au chômage p class="p3" style="text-align: center; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 15px; line-height: normal; font-family: "Myriad Pro";"en colère Des journalistes au chômage ont observé jeudi devant le palais du gouvernement à la Kasbah un sit-in pour revendiquer le droit au recrutement dans le secteur public. Le porte-parole de la coordination des journalistes au chômage, Imed Jaballah a précisé que ce mouvement de protestation a été organisé pour revendiquer le droit au recrutement des journalistes dans le secteur public en tant que chargé d'information dans les municipalités, les délégations et les commissariats régionaux ainsi que les instances. Le porte-parole a également appelé à introduire la matière d'éducation aux médias dans les programmes d'éducation et permettre aux diplômés de l'institut de presse au chômage d'enseigner cette matière. Un deuxième sit-in est prévu devant le siège de l'assemblée des représentants du peuple (ARP) le 28 juillet, a ajouté la même source. La non satisfaction des revendications incitera à l'organisation d'autres mouvements par les journalistes au chômage dont le nombre est estimé à 900 journalistes. r Il est malheureux de former des journalistes, pour les laisser, par la suite, au chômage, alors que d'autres filières à forte employabilité ne trouvent pas de prétendants. p class="p3" style="text-align: center; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 15px; line-height: normal; font-family: "Myriad Pro";"Départs à la retraite dans le privé Le directeur général de la caisse nationale de sécurité sociale (CNSS) Imed Turki, a prévu la publication, vers la fin de l'année, d'un décret gouvernemental portant augmentation de l'âge de départ à la retraite pour les fonctionnaires du secteur privé. C'est une démarche qui permettra d'améliorer les équilibres financiers de la caisse, a-t-il précisé. Turki a souligné avoir parcouru des pas importants pour l'élaboration de ce décret en partenariat avec les différents intervenants dont le ministère des Affaires sociales. L'augmentation de l'âge de départ à la retraite dans le secteur privé est une décision importante contribuant à l'amélioration de l'état financier de la caisse, a estimé Turki. Le nombre de départ à la retraite à l'âge de 60 ans a contribué à la crise enregistrée au niveau de la caisse, a expliqué la même source, rappelant que des virements mensuels estimés à 300 millions de dinars sont mobilisés au profit de près de 700 mille retraités dans le secteur privé. r Tout contribue à la crise de la CNSS, alors que les dirigeants se morfondent dans leur sommeil. Pourquoi il n'y a pas de réactivité, avant que les malheurs n'arrivent ? p class="p3" style="text-align: center; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 15px; line-height: normal; font-family: "Myriad Pro";"Al-Karama ne proposera pas p class="p3" style="text-align: center; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 15px; line-height: normal; font-family: "Myriad Pro";"de « candidat » La coalition al-Karama a annoncé, hier, qu'il ne présentera aucun nom ou liste de candidats pour la présidence du gouvernement, ni en son nom ni dans le cadre d'une coalition. Dans une déclaration publiée sa page officielle Facebook, la coalition Al-Karama a précisé, néanmoins, qu'il reste ouvert sur toutes les initiatives et les propositions qui tendent à faire sortir le pays de la crise politique, économique et sociale et qui cherchent à consacrer l'Etat de droit et à réaliser les objectifs de la révolution et de la dignité. Al-Karama reproche au président de la République Kaïs Saïed son modus operandi consistant à "se concerter avec les parties politique par voie de correspondances". r Il est certain que les relations ne sont pas au beau fixe entre ce mouvement et son parasol, le mouvement Ennahdha... Mais, qui sait ?