Il s'introduit chez la voisine pour voler Le jeune homme âgé de 26 ans qui était impliqué dans une série de vols qualifiés, écopa d'une condamnation à 3 ans d'emprisonnement en première instance. La première affaire concernait le vol d'une voiture, qui était dans un garage. Il avait l'intention de faire un petit tour avec le véhicule, qu'il avait en effet restitué, mais après l'avoir bien endommagé. La deuxième affaire se rapportait à un vol dans une maison privée, où le jeune homme s'était introduit sans effraction. Quat à la troisième affaire, elle concernait le vol d'un ordinateur. IL interjeta appel et ne put que solliciter la clémence de la cour, d'autant plus qu'il avait restitué la plupart des objets volés à leurs propriétaires. IL s'en sortit avec un an et demi d'emprisonnement.
Il s'introduit chez la voisine pour voler Le jeune homme est accusé de vol qualifié dans une maison, où il s'était introduit subrepticement. Cependant au tribunal, il déclara qu'il n'avait jamais commis de vol et jamais pénétré dans la maison en question et que la jeune fille qui l'accusa s'était trompée de personne. En fait, la jeune fille dormait du sommeil du juste alors qu'elle fut réveillée par un bruit inhabituel. Elle sauta de son lit pour aller voir ce qui se passait du côté du salon. Elle avait alors aperçu le voleur, qui prenait déjà la sortie après avoir accompli le cambriolage. La jeune fille avait-elle pu discerner qui était l'intrus ? En tout état de cause, elle était sûre d'avoir reconnu le cambrioleur en la personne de l'accusé. Mais celui-ci n'a cessé de nier en clamant son innocence. Condamné à quatre ans en première instance, il interjeta appel, et son avocat sollicita l'acquittement de son client, pour défaut de preuves étant donné qu'il y a erreur sur la personne. La cour l'entendra-t-elle de cette oreille ?