* Agression d'un marchand de légumes S'il est vrai que les parents ont des droits sur leurs enfants, ceci ne leur donne en aucun cas le droit de les agresser et, encore moins, de leur soutirer de l'argent. Ceci étant, c'est inadmissible de parvenir à une situation telle que décrite par cette jeune fille, âgée de 32 ans, qui s'est présentée à la police de la Manouba pour porter plainte contre son père. Ce dernier n'a pas cessé de l'agresser et de lui soutirer de l'argent depuis qu'elle avait commencé à travailler, cinq ans plus tôt. La jeune fille a expliqué son ras-le-bol par rapport aux agissements de son père qui l'avait agressée la veille lorsqu'elle a essayé de garder cinquante dinars de ses revenus pour ses propres dépenses. La victime a précisé qu'elle avait un atelier de couture dans le garage de la maison familiale. Elle en payait mensuellement un loyer de 150 dinars à son père qui ne cessait pourtant pas de la harceler au point que la victime a fini par demander la protection de la police car personne dans son entourage n'était parvenu à la libérer du joug de ce père ingrat et violent. Les agents de la police ont enregistré la plainte pour agression ils ont interpellé l'accusé pour les besoins de l'enquête.
Agression d'un marchand de légumes L'agressivité a monté d'un cran dans la société malgré les efforts des forces de la sécurité intérieure. Certains énergumènes ne reculent plus devant des agressions contre de paisibles citoyens tels que ce marchand de légumes qui a été victime d'une agression à l'aube alors qu'il quittait son domicile pour se rendre au marché du gros. Il a été abordé par un énergumène armé d'un couteau qu'il lui a pointé au visage et lui a intimé l'ordre de lui remettre ce qu'il avait dans les poches. La victime n'a pas pu que s'exécuter et lui remettre 230 dinars. Le malfrat lui a même enlevé son téléphone portable et une montre. Une fois son forfait accompli, l'agresseur s'est évaporé dans la nature. Le marchand de légumes a attendu le départ de son agresseur pour se précipiter au poste de police le plus proche pour porter plainte. Une patrouille circulant dans le coin a été alertée et elle est parvenue à mettre la main sur l'agresseur alors qu'il avait encore l'argent et les objets volés dans ses poches. Le malfrat a été formellement reconnu par la victime. Il a reconnu ses méfaits et a été arrêté. Il comparaîtra bientôt devant la justice.