Le feed-back des deux précédents blogs peut nourrir les blogs des six mois à venir mais comme le dit si bien une règle de bon séant "toutes les bonnes choses ont une fin" que dire des pires"? Clôturons cette récolte de témoignages par le comportement du personnel. Outre l'accueil machinal et froid, on est mieux accueilli dans un restaurant que dans une clinique. Pourtant c'est là où l'on a besoin d'un petit remontant moral tel un sourire. Dans les couloirs, les femmes de ménage rouspètent tout le temps même contre leur propre boulot. Elles devraient se dire que c'est grâce à ce qu'elles dénoncent qu'elles ont pu trouver du travail. Quant à l'autre personnel, c'est le portable à longueur de journée. Tout ceci favorise la prolifération du pire ennemi du patient... le bruit. Le ministère de la Santé devrait fixer un seuil de tolérance et mesurer les décibels en "secret" afin de sanctionner les établissements plus bruyants qu'un "Hammam" une matinée de dimanche. Conclusion malgré toutes ses imperfections. L'hôpital public (dont l'hôpital militaire) est de loin meilleur que la clinique. Au moins, on en a pour son (peu) d'argent (dépensé) ! (fin)