La perpétuité pour les violeurs * Abus de confiance * Le bac en cellule C'est un employé de banque qui eut l'idée diabolique de s'introduire dans les bureaux durant les heures de fermeture, et ce afin de rafler tout ce qu'il pouvait traîner sur les meubles ou même dans les placards. Il put dérober plusieurs ordinateurs portables dans l'intention de les écouler afin d'arrondir ses fins de mois. Il ne fit pas attention, cependant, aux caméras de surveillance placées discrètement dans les bureaux et les couloirs de l'établissement. Ses moindres faits et gestes ont été ainsi filmés en totalité. Le flagrant délit de vol a été ainsi établi, malgré les réserves que l'agent a émis en déclarant qu'il a remis les ordinateurs portables en place. Inculpé de vol, il comparut devant le tribunal et réitéra ses déclarations au cours de l'enquête préliminaire. Son avocat sollicita le renvoi afin de réunir les éléments de sa défense et le tribunal acquiesça à sa demande.
La perpétuité pour les violeurs La victime, une étudiante qui se promenait avec un camarade de faculté, a été surprise par deux énergumènes qui l'obligèrent à les suivre sous la menace et malgré sa résistance et toute la volonté de son compagnon à lui prêter main forte. Après avoir roué ce dernier de coups, afin de l'intimider et l'amener à abandonner leur poursuite, ils entraînèrent la jeune étudiante dans un lieu isolé, et se relayèrent à la violer à maintes reprises, faisant fi de ses supplications et ses pleurs. Cela dura toute une nuit. Ce ne fut que le lendemain à l'aube qu'ils laissèrent la victime à son sort et filèrent à l'anglaise, sans oublier au passage, de lui dérober la chaînette en or qu'elle avait au cou. La victime se dirigea avec son camarade vers le premier poste de police pour porter plainte contre les deux forbans. Inculpés de viol et voies de fait, ils furent condamnés par le tribunal de première instance à la prison à perpétuité. Ils interjetèrent appel et se rétractèrent devant la cour, niant le viol avec violence, en déclarant qu'ils avaient eu une rixe avec le compagnon de la victime, lequel avait inventé cette accusation de toutes pièces. Mais devant les fortes présomptions qu'il y avait au dossier, la cour d'appel, a confirmé la peine prononcée en première instance, soit la prison à perpétuité.
Abus de confiance Le directeur commercial accusé d'abus de confiance qui comparut, tel que nous l'avons relaté dernièrement, devant le tribunal de première instance de Grombalia, a été condamné à 4 ans d'emprisonnement. Rappelons que ce directeur commercial avait détourné à son profit, des chèques en blanc qu'avait signés le responsable de la société avant de s'absenter pour quelques jours à l'étranger. Ce fut justement de cette absence que profita l'accusé en payant à l'aide de ces chèques des factures personnelles.
Le bac en cellule L'élève qui fut incarcéré suite à une rixe où il fut inculpé de violences graves, a pu obtenir la permission de passer l'examen du bac à partir de la maison d'arrêt, étant en état de détention provisoire en attendant de comparaître devant le tribunal. Mais en attendant il a eu beaucoup de chance de n'avoir pas raté cet examen capital dont dépendra tout son avenir.