La victime , une dame quadragénaire, a soutenu devant le tribunal que le jeune homme a tenté d'abuser d'elle, et devant son refus il la roua de coups, lui causant la perte de trois dents. Or l'avocat de la défense a soutenu ques les allégations de la dame sont dénués de tout fondement, d'autant plus que ce fut plutôt le jeune homme qui fut agressé par la plaignante qui a prétendu avoir perdu ses dents alors qu'il s'agissait de dents artificielles. Il demanda sur cette base l'acquittement de son client et le tribunal mit l'affaire en délibéré. Dieu, préservez-moi de mes amis.. ! Le quadragénaire qui comparut dernièrement devant le tribunal de première instance de Tunis, devait répondre de l'accusation de vol du téléphone portable de son ami. Celui-ci le prit avec lui dans son véhicule, le jour des faits et avant de le quitter il subtilisa le téléphone qui se trouvait sur le tableau de bord. L'accusé imperturbable, reconnut les faits, en déclarant qu'il avait voulu juste écouter une chanson et restituer l'appareil à son propriétaire. L'avocat plaida l'absence de l'élément moral de l'infraction, son client n'ayant pas eu l'intention de voler son ami qu'il avait l'habitude de rencontrer quotidiennement. Il demanda l'acquittement de l'accusé. Cependant le tribunal déclara ce dernier coupable et le condamna à la peine de 8 mois de prison. Pour avoir refusé de répondre au téléphone... La bonne-dame qui porta plainte contre son mari , avait déclaré que ce dernier avait pris l'habitude de la violenter. Mais ce jour-là ce fut la goutte qui a fait déborder le vase. Quand le téléphone sonna l'épouse était occupé à faire autre chose. Mais elle n'avait jamais pensé que cette attitude lui coûtera un vrai passage à tabac , suite auquel sa mâchoire a été déboîtée. Le mari rentra en effet furieux et sans crier gare il commença à la rouer de coups , pour avoir refusé de répondre à son appel téléphonique Elle se dépêcha d'aller voir d'abord un médecin puis, munie d'un certificat médical circonstancié, elle déposa une plainte auprès du procureur de la République. Le mari fut inculpé de violence sur son épouse, et devant le tribunal il reconnut les faits incriminés en faisant part de ses regrets et était au bord des sanglots. Le tribunal mit l'affaire en délibéré.