Vous avez devant les yeux la couverture du dernier numéro (le numéro 14) de « Tunisie Plus », un trimestriel édité à Paris, distribué à hauteur de 60.000 exemplaires avec « Le Figaro », en plus de 10000 exemplaires entre abonnements directs, vente dans les kiosques tunisiens et distribution sur les lignes de Tunisair A sa naissance «Tunisie Plus», tous les numéros sont là pour le prouver, s'est choisi pour charte de ne pas faire dans la propagande, mais de mettre en exergue ce que la Tunisie a de « plus ». Son cheval de bataille, c'est le tourisme, bien sûr, puisque sa finalité consiste à toujours montrer aux Français les trésors touristiques, patrimoniaux et culturels dont regorge la Tunisie. « Tunisie Plus » est, donc, un relais entre la Tunisie et la France interpellant toujours de grandes personnalités françaises amies de notre pays et dressant en même temps le portrait des personnages tunisiens à la conquête de la France ou ceux qui l'ont déjà conquise. En fait, il s'agit de faire du lobbying pour la Tunisie. Dans ce numéro de « Tunisie Plus », Luc Ferry, philosophe et ancien ministre de l'Education française décrypte l'an 1 de la Révolution tunisienne. Un regard humaniste puisqu'il y déclare que « la démocratie n'est pas occidentale, elle est humaine »… avant d'ajouter que « l'Islam peut s'ouvrir à la laïcité ». Question de pragmatisme et, surtout, un impératif que s'est imposé « Tunis Plus » comme ligne de conduite : raffermir encore et toujours la quintessence de ce cordon ombilical entre la Tunisie et la France. La fibre affective aussi. La France ne tournera pas le dos à la Tunisie et la Tunisie n'est pas près de s'en passer. C'est là le pari (gagné) de TUNISIE PLUS.