«Usant de mon droit de réponse à l'article intitulé « Mounir BEN SLIMENE (Pdt de la FTVB) sort de son mutisme… permettez moi de faire les remarques suivantes : 1 – Déclarer que tout est régulier ou presque dénote d'une forme de tromperie que seul Mounir BEN SLIMENE détient les secrets. En effet en abordant l'article 39 comment l'ancien nouveau Président confirme une régularité de la procédure quand bien même il a avoué au cours de la réunion tenue le 23 Mars 2012 au siège de la commission supérieure chargée des élections des bureaux fédéraux qu'il a été remis à M. Chakib BOUSLAMA une copie erronée des statuts comportant un article (39) indiquant des conditions de candidature différentes, plus sévères que celles exigées réellement. Décision n°29 du 23 Mars 2012 voir annexe. Qui est dans ce cas le champion des manigances ? 2 – Déclarer que les trois listes ont vite compris qu'elles n'avaient aucune chance de l'emporter est une contre vérité. En effet en dépit de fait qu'il a usé tous les sièges de la Fédération pendant de très longues années, il a réussi à quelques cheveux du score de ma liste (93 voix contre 65 ou 17 clubs contre 14). J'aurai été mal à l'aise de gouverner tout en étant minoritaire. A mon avis, Mounir BEN SLIMENE a perdu l'occasion de se taire en déclarant que les représentants de clubs votent pour des personnes et des programmes. Sachez que 23 clubs sur 40 ont voté contre Mounir BEN SLIMENE. Sachez que Mounir BEN SLIMENE n'avait aucun programme ou plutôt le reste du programme de 2009. 3 – Le cas de Youssef MAHFOUDH. Je démens formellement avoir harcelé ce Monsieur ou l'avoir courtisé pour faire partie de ma liste. Bien au contraire M. Youssef MAHFOUDH m'a contacté et m'a sollicité de faire partie de ma liste et m'a même demandé de faire liste commune avec Mounir BEN SLIMENE. Il m'a présenté tous ses papiers y compris la demande de candidature dûment signée. Voir tous les documents en annexe. M. Youssef MAHFOUDH a ensuite été « détourné » par Mounir BEN SLIMENE. J'ai laissé faire ayant appris en même temps qu'il ne remplit pas réellement les conditions de candidature. Enfin Mounir BEN SLIMENE se dit plutôt confiant quant à l'issue finale de l'affaire du recours devant la CNAS mais il se trompe d'époque puisque cela a été possible en 2009 avec la bénédiction de Abdelhamid SLAMA. Aujourd'hui les temps ont changé et quand bien même le CNAS subit actuellement des pressions énormes. Je demeure serein et accepterai sans ambages le verdict quel qu'il soit. Je n'ai pas une famille qui profite du Volley Ball. Dans le cas où le recours serait rejeté Mounir BEN SLIMENE dirigerait les affaires du Volley Ball avec 57% des clubs contre lui et avec deux candidats qui ne remplissent pas les conditions. Mais cela serait la négation de l'éthique sportive».