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Deux frères et un cousin
Publié dans Le Temps le 28 - 03 - 2013

Deux frères et une dame ont comparu devant la première chambre criminelle du tribunal de première instance de Tunis pour répondre de détournement d'une personne sous la menace, l'utilisation d'arme blanche et l'agression, la séquestration et la torture.
Au cours du mois de janvier 2012, le plaignant traversait le boulevard Bab Jedid en plein centre de la capitale. Il se dirigeait vers son lieu de détente habituelle, le café du coin. Il s'est avéré lors de l'enquête être le cousin des inculpés. A ce moment, une voiture s'arrête à son niveau, deux gars descendent et l'obligèrent sous la menace à embarquer. Il s'est exécuté de peur qu'on lui fasse du mal.
Ils se sont dirigés vers une maison située à Mutuelle ville. Une fois à l'intérieur, ils l'ont déshabillé, ligoté solidement par les bras et les jambes et ont procédé à l'aide d'un grand couteau de lui balafrer tout son corps. Le visage, le torse. Un des frères s'est armé d'un gourdin et lui asséné plusieurs coups dans plusieurs endroits de son corps. Cela n'était pas suffisant, ils ont attenté à sa pudeur d'une manière brutale. La décence nous interdit de donner les détails. Le plaignant les suppliait d'arrêter de le torturer, ils lui ont rétorqué que ce n'était que des préliminaires, le reste allait suivre. L'un d'eux s'est armé d'un couteau et a voulu lui couper son organe sexuel. C'est à ce moment que la propriétaire des lieux, la dame qui les a reçu chez elle est intervenue et a chassé les deux frères et a libéré la victime.
Le pauvre s'est rendu dans un état lamentable au poste de police pour déposer plainte contre ses agresseurs, ses cousins. Il a fourni leurs noms et adresses. Il ne restait plus aux forces de l'ordre que d'aller les arrêter.
Interrogé par le juge le premier inculpé a nié les faits et surtout l'attentat à la pudeur. Il a déclaré que son cousin, le plaignant a violé dans un passé récent sa sœur. Le lien de parenté a laissé place à la haine et la rancœur. Il a déclaré que le jour des faits alors qu'il passait par Bab Jedid avec son frère, ils ont croisé le plaignant. Ce dernier leur a proposé de passer de bons moments autour de quelques bouteilles. Ils se sont déplacés ensemble dans une grande surface pour acheter ce qu'il fallait. Ils se sont rendus au domicile indiqué. Là et au cours de la beuverie une altercation a eu lieu mais a été vite cernée par la propriétaire des lieux qui a mis fin au malentendu. Chacun est parti de son côté.
L'interrogatoire du frère, le deuxième inculpé a été presque identique que celui du premier inculpé sauf qu'il a informé le juge que son cousin n'a jamais tenté d'abuser de leur sœur.
La propriétaire de la maison, a donné une version tout à fait autre et tellement contradictoire, ce qui a nécessite plusieurs questions du juge pour l'obliger à dire la vérité.
Elle a commencé par dire que les deux frères et leur cousin se sont installés derrière son domicile pour se taper une cuite. Ils ont tellement consommé qu'ils ont perdu les pédales. Le père des deux frères est venu à la hâte pour briser ce qui restait des bouteilles et les chasser. Ils sont partis une première fois puis ils sont revenus. Elle est sortie à leur rencontre pour les inviter à s'installer chez elle. C'est là qu'elle a vu l'un des frères en train de tabasser son cousin.
En se réveillant le matin elle n‘a trouvé personne.
Des versions tellement contradictoires et difficiles à admettre.
Après les plaidoiries des avocats où chacun essayait de trouver des explications au comportement de son client, le juge a mis l'affaire en délibéré. Le verdict sera prononcé ultérieurement.
AA

Harcèlement et tentative de meurtre
Cette affaire commence par une petite drague. L'inculpé prenait du plaisir à harceler sa voisine pourtant mariée. Il la suivait régulièrement et lui demandait de lui accorder ses faveurs.
Le jour des faits, les choses ont pris une tournure tout à fait différente et grave. L'individu a poussé la dose en proposant à la dame la somme de 50 Dinars pour le suivre et passer avec lui de bons moments. La dame était tellement furieuse qu'elle a d'abord commencé par mettre au courant son mari puis sans attendre, s'est rendue au tribunal pour déposer une plainte contre son harceleur auprès du procureur de la république. Ce dernier a ordonné l'ouverture d'une enquête.
Informé de la plainte, l'inculpé a décidé de se venger à sa manière de tous les membres de la famille de la plaignante. Ce qui l'a poussé à prendre cette décision c'est le fait d'être la cible de tous les habitants de son quartier qui lui reprocheraient certainement son comportement vis-à-vis de la voisine.
Un jour, une parente de la victime roulait dans les rues de la cité à vitesse assez réduite, l'inculpé n'a pas trouvé mieux que de foncer sur elle avec sa voiture. Il lui a causé une fracture du tibia avec des hématomes sur plusieurs parties de son corps et bien entendu des dégâts matériels importants.
Une deuxième fois, il s'est armé d'un fusil de chasse et s'est attaqué à l'époux de la plaignante. Il lui a tiré dessus au niveau des jambes ce qui lui a causé des fractures. Un certificat médical était présenté aux enquêteurs à la suite d'une deuxième plainte déposée par l'époux déclarant une tentative de meurtre avec préméditation.
Arrivé à ce stade les enquêteurs ont procédé à l'arrestation de l'individu car au sujet de la première plainte il a été laissé en liberté provisoire. Il a été inculpé de harcèlement puis de tentative de meurtre sur la personne de l'époux.
Les enquêteurs ont fouillé le domicile de l'inculpé mais n'ont pas pu saisir le fusil de chasse utilisé contre l'époux.
Au cours de son interrogatoire il a nié avoir harcelé la dame et a également nié la tentative de meurtre mais a contre attaqué en déclarant que l'époux de la plaignante a tenté de cambrioler son domicile où il s'est introduit avec plusieurs personnes. Ils ont porté des dégâts matériels importants et avant leur départ ils ont saccagé sa voiture, brisé les vitres. Il a présenté des voisins qui ont témoigné en sa faveur.
Cette affaire sera traitée très prochainement devant une chambre criminelle du tribunal de première instance de Tunis.
AA

Série de vols à l'arraché
Un sexagénaire a comparu en état d'arrestation devant la 6ème chambre criminelle du tribunal de première instance de Tunis, inculpé dans une série d'affaires de vol.
Le 21 janvier 2012, une dame Touriste de Nationalité Argentine se rendait à l'Ambassade de son pays a été surprise de voir son collier arraché de force par l'inculpé. Il était à bord d'une mobylette. Il s'est enfui tout de suite après se faufilant entre les voitures. Personne ne pouvait l'arrêter.
La Dame s'est rendue au poste de police où elle a déposé plainte. Elle a fourni le signalement de l'individu.
Quelques jours plus tard, au cours d'une ronde de routine effectuée par la brigade d'intervention de la police judiciaire, le voleur en question a été arrêté en flagrant délit au moment où il tentait de prendre une chaîne appartenant à une fille (vol à l'arraché également.)
Conduit au poste il a déclaré être responsable de cinq affaires similaires.
Il a été traduit en état d'arrestation devant une chambre correctionnelle du tribunal de première instance de Tunis.
Devant le juge, il s'est rétracté malgré sa confrontation avec ses déclarations données lors de l'enquête préliminaire et les témoignages des victimes qui l'ont reconnu.
Sur demande de l'avocat, la juge a reporté l'affaire pour lui permettre de préparer les éléments de défense.
A.A

Un duo d'arnaqueurs
Une dame du genre Bon chic Bon genre, s'est faite une réputation de femme généreuse rendant service à tous ceux et celles qui lui en demandaient .
Elle a connu un jeune homme, qui, apparemment s'est épris d'elle. Elle l'a ensorcelé par sa bonté et son franc parler. Elle lui a parlé de ses connaissances de personnes hautement placées dans les administrations. Elle a fait savoir à son compagnon sa capacité de trouver des emplois à ceux et celles qui lui en demandaient moyennant une modique somme d'argent. Elle lui a proposé d'intervenir auprès de certains jeunes pour venir discuter avec elle.
Le jeune homme est allé rencontrer plusieurs de ses amis pour leur proposer l'aide de la dame.
Plusieurs l'ont contactée. Elle est débordante de vivacité. Personne n'aurait cru qu'elle mentait et qu'elle proposait ses services pour les arnaquer. Mais la réalité est tout autre. Après avoir pris beaucoup d'argent auprès de huit victimes, elle n'a plus donné signe de vie et a complètement disparue, laissant ses victimes dans le désarroi.
Deux jeunes hommes ont déposé plainte au mois de novembre 2012 accusant la dame de les avoir escroqués. Ils ont fourni son signalement aux enquêteurs tout en indiquant qu'ils ont fait sa connaissance par l'intermédiaire d'un individu qu'ils connaissaient. Ils ont fourni également son nom et adresse.
Les investigations ont permis l'arrestation de la dame.
Dès son premier interrogatoire elle a avoué son forfait déclarant passer par une dure période qu'elle n'avait jamais connue auparavant. Plusieurs chèques émis de sa part sont consignés à la banque attendant le règlement. Elle n'avait aucun autre recours que de mettre en exécution ses idées machiavéliques pour sortir de la crise financière.
Elle a été traduite en état d'arrestation devant la chambre criminelle du tribunal de première instance de Tunis en compagnie de son complice le jeune homme déjà cité.
Bien qu'ayant reconnu les faits au cours de l'enquête préliminaire, elle s'est réractée devant le juge signalant qu'effectivement elle avait des problèmes d'argent mais l'idée d'arnaquer les gens est venue de son compagnon qui lui a proposé de discuter avec des jeunes pour leur proposer de les aider à être embauchés . Elle a déclaré que c'est son ami qui en est l'instigateur et elle n'a fait que le suivre dans son raisonnement.
Elle a évoqué au juge qu'elle traversait une période difficile mais n'a jamais pensé arnaquer les gens.
Son avocat lui a demandé les circonstances atténuantes. C'est une femme qui n'avait aucun antécédent judiciaire. Elle s'est trouvée mêlée à cette histoire car elle avait à faire face aux grosses difficultés financières que connaissait son entreprise commerciale. Il a prié le juge de lui infliger le minimum de peine.
L'affaire a été reportée à une date ultérieure pour le prononcé du verdict.
AA

Une altercation qui tourne au drame
Le 9 Avril 2012, une mère s'est présentée au poste de police pour déclarer que son fils, un jeune adolescent a quitté le foyer parental et n'a plus donné signe de vie. Elle a prié les auxiliaires de la justice de tout faire pour le retrouver.
Un mandat de recherche a été lancé et envoyé à tous les postes de police. Des quartiers entiers de la ville de Bizerte ont été rasés par les enquêteurs pour retrouver le jeune homme, mais en vain.
C'est un Monsieur qui passait par pur hasard sous le pont qui a constaté un corps humain étalé au sol inerte. Il a vite fait d'informer les agents du poste de police le plus proche. La victime, un jeune homme avait le crâne fracassé. Plusieurs blessures dans plusieurs endroits de son corps. Une grosse pierre rocheuse a été minutieusement posée sur son visage dans l'intention de camoufler le crime.
Le représentant du Ministère publice ainsi que les enquêteurs se sont déplacés sur les lieux pour les constats d'usage. Le cadavre a été transporté à la morgue de l'hôpital pour autopsie.
Les investigations ont permis d'identifier trois jeunes individus. Le premier a été gardé pour les besoins de l'enquête tandis que les deux autres ont été libérés puisque rien ne pouvait leur être reproché.
L'inculpé incarcéré a fini par passer à table après un interrogatoire assez serré.
Il a déclaré qu'il a eu une altercation avec le défunt qui est son ami. Il a prétendu que ce dernier lui a volé son ordinateur. A cause de cela, la dispute a dégénérée en bagarre, il a profité d'un moment de faiblesse de son ami pour lui porter une série de coups mortels dans plusieurs endroits de son corps, par la suite et afin de camoufler son crime il a posé une pierre rocheuse sur son visage. Une fois tranquillisé sur son sort il a disparu de la circulation.
Ses aveux ont été consignés. Il a été traduit en état d'arrestation devant la chambre criminelle du tribunal de première instance de Bizerte. Il a avoué devant le juge son crime et a demandé de lui alléger sa peine. Son avocat a essayé de lui trouver des circonstances atténuantes et a prié le juge de lui infliger le minimum de peine.
Après les délibérations l'accusé a été condamné à une peine de sept ans de prison ferme.
Estimant le verdict inapproprié et injuste au vu de l'acte commis, le Ministère public et le représentant de la partie civile ont fait appel.
AA

Crime abominable
Comment peut-on qualifier cet acte horrible commis par un criminel sauvage, n'ayant aucun sens de l'humanisme. Un viol d'une jeune fillette âgée uniquement de trois ans !!
Tous les habitants de la charmante ville de la Marsa n'arrivaient pas à croire cet évènement qui s'est produit dans un jardin d'enfants de la ville. A l'annonce de cet acte criminel tous les Tunisiens ont exprimé leur désarroi.
L'inculpé est âgé d'une quarantaine d'années, père de trois enfants, recherché depuis 2009 pour abandon de foyer. Il a été arrêté et placé en garde à vue pour les besoins de l'enquête.
La mère a déclaré à un confrère, qu'elle est encore sous le choc et qu'elle n'arrive pas à croire qu'un tel crime puisse se produire dans un lieu censé être protecteur des enfants et veillant à leur éducation. C'est un abus considérable.
La mère a découvert au début que sa petite fille souffrait énormément à cause d'hématomes découverts au niveau de son organe génital. Du sang collé au niveau de son sexe ainsi que des traces évidentes au niveau de son anus. Très vite la maman a appelé par téléphone son mari. Ensemble ils se sont dirigés vers une clinique. Le Médecin stupéfait leur a annoncé que la petite a été violée sauvagement, il leur a avoué que si la petite n'a pas été acheminée à la clinique à cet instant elle aurait pu laisser sa vie.
Le couple s'est rendu en compagnie de leur fille à la Direction régionale de la police judiciaire où ils ont déposé plainte.
Très vite les agents se sont déplacés sur les lieux. Ils ont remarqué les troubles marqués sur le visage du gardien, ils l'ont tout de suite arrêté. Confronté avec la jeune fille cette dernière l'a reconnu.
La mère de l'enfant se demande comment les autorités puissent permettre l'ouverture de ces jardins d'enfants sans autorisation préalable et comment se fait-il qu'aucune décision de fermeture du local n'ait encore été prise.
Apparemment Madame la Ministre de l'Enfance n'a pas réagi face à ce crime conformément aux attentes des citoyens qui s'attendaient à la fermeture de cet établissement au moins d'une manière provisoire jusqu'au terme de l'enquête.
Nous reviendrons sur ce drame avec beaucoup plus de détails.


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