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Il n'est point de place aujourd'hui en Tunisie pour l'injustice et les abus, ni pour l'opinion unique
Le Président Ben Ali préside un grand meeting populaire à Radès
Publié dans Le Temps le 08 - 11 - 2007

Radès-TAP - La célébration du 20ème anniversaire du Changement a été un événement national important marqué par un grand meeting populaire présidé, hier, à la salle couverte de la Cité sportive 7 novembre à Radès, par le Président Zine El Abidine Ben Ali, en présence de Mme Leïla Ben Ali, épouse du Chef de l'Etat.
Un accueil particulièrement chaleureux et enthousiaste a été réservé au Président de la République, par des formations de la jeunesse, des groupes équestres et des troupes musicales et artistiques, illustrant la richesse du patrimoine culturel national.
Le Chef de l'Etat a parcouru, à pied, la place menant à la salle couverte, sous les acclamations d'une immense foule de citoyens et de formations de jeunes, dans une ambiance de liesse populaire traduisant les significations profondes de la célébration de ce glorieux anniversaire national et la gratitude envers le Président Zine El Abidine Ben Ali, l'initiateur du processus de réforme et de changement.
Le président Ben Ali a, ensuite, salué le drapeau au son de l'hymne national avant de passer en revue un détachement des trois armes qui lui rendait les honneurs.
Le Chef de l'Etat a serré la main aux personnalités venues l'accueillir dont notamment, les membres du Bureau politique du Rassemblement Constitutionnel Démocratique (RCD), les secrétaires généraux des Partis politiques, les présidents des organisations nationales et plusieurs personnalités nationales et hôtes de la Tunisie.
A son entrée dans la salle couverte, des milliers de citoyens, cadres, jeunes, représentants des structures associatives, intellectuels, et hommes de culture et de l'information, ont réservé un accueil des plus chaleureux au Président de la République et à son épouse.
A cette occasion, le Chef de l'Etat a prononcé un discours dans lequel il a souligné que son ambition pour la Tunisie est grande et qu'elle est fondée sur l'entente et le consensus comme base de la stabilité politique, et sur le dialogue comme fondement de la paix sociale, dans le cadre de l'Etat de droit et des institutions, du respect des principes des droits de l'homme et de la consécration des valeurs de liberté, d'égalité et de justice.
Le Président Ben Ali a affirmé qu'il "n'est point de place aujourd'hui en Tunisie, pour l'injustice et les abus, qu'il n'est point de place, non plus, pour l'opinion unique, ni pour la pensée unique ou la couleur unique.
Il n'y a pas lieu, enfin, de se dérober à la participation, parce que la Tunisie a besoin des efforts de l'ensemble de ses fils et de ses filles".
Le Chef de l'Etat a expliqué qu'il s'agit là du projet du Changement de la Tunisie de demain à la concrétisation duquel il a œuvré tout au long de deux décennies, et auquel il a voulu donner une nouvelle impulsion à l'occasion de la célébration du vingtième anniversaire du Changement, une impulsion qui puise sa force dans la Déclaration du 7 novembre et dont la base s'enracine dans les réalisations et les réformes sans précédent qui ont été accomplies dans le pays.
Dans son discours, le Président Ben Ali a aussi annoncé des décisions importantes touchant les domaines politique, économique et social.
D'autre part, le Chef de l'Etat a mis l'accent sur les fondements du processus de développement intégral mis en œuvre tout au long des vingt dernières années, processus fondé sur l'interdépendance et la complémentarité des volets économique et social du développement, dans un contexte de réforme politique et de modernisation culturelle et civilisationnelle.
Le Président Ben Ali a relevé que les acquis et les réalisations avant-gardistes accomplis dans tous les domaines et à tous les niveaux ont permis à la Tunisie de sortir de la situation très dégradée qu'elle connaissait avant le Changement pour devenir, aujourd'hui, un pays émergent qui avance vers l'avenir avec confiance et assurance, pour rejoindre le cortège des pays les plus développés et les plus prospères.

Voici le texte du discours prononcé par le Président de la République
''Au nom de Dieu, le Clément, le Miséricordieux,
Citoyennes, Citoyens,
C'est avec beaucoup d'orgueil et une grande fierté que notre peuple célèbre, aujourd'hui, le moment historique qui, il y a aujourd'hui vingt ans, jour pour jour, a marqué le salut de notre peuple et le commencement du processus de changement, de réforme et de construction, à l'aube du 7 Novembre 1987.
Vingt années au cours desquelles notre pays s'est hissé à un niveau avancé de progrès et de prospérité, et a accompli des réalisations et des acquis majeurs qui font notre fierté devant les nations du monde.
La commémoration de cette date confirme une nouvelle fois notre fidélité constante à la mémoire des martyrs de la libération et aux générations de réformateurs, de pionniers, de résistants et de militants, les bâtisseurs de l'indépendance et les fondateurs de l'Etat moderne, au premier rang desquels le leader disparu, Habib Bourguiba.
C'est pour nous, également, une occasion opportune pour adresser nos salutations aux tunisiennes et aux tunisiens, de toutes générations, catégories et régions, et pour nous féliciter de leur adhésion au message du Changement, à nos choix nationaux et au projet civilisationnel authentique que nous construisons, étape par étape, dans la loyauté totale à la Tunisie et à elle seule, et en oeuvrant avec ardeur à son service et au renforcement de son prestige parmi les nations.
Il m'est agréable, à l'occasion de cet événement glorieux, de décerner le ''Prix du 7 novembre pour la création'' au grand poète arabe palestinien, Mahmoud Darwish, dont nous apprécions hautement les oeuvres et la créativité, tout autant que le militantisme et la fidélité à la cause de son peuple et aux principes de justice et de liberté dans le monde.
Ses oeuvres ont été constamment l'expression sincère de la volonté du peuple palestinien frère et de son action militante.
Tout en le félicitant pour cette distinction, je tiens à saluer, à travers sa personne, l'ensemble des créateurs palestiniens dont j'apprécie la persévérance et l'apport intarissable, malgré la difficulté de la situation qu'ils vivent.
Mes félicitations s'adressent, également, à tous ceux qui seront honorés, aujourd'hui, par l'attribution de l'Ordre du 7 novembre, en exprimant ma considération à tous ceux qui ont contribué au renforcement des fondements du projet civilisationnel que nous édifions ensemble, avec fierté et orgueil.
La Déclaration du 7 Novembre que nous avions adressée à notre peuple, lors de cette journée historique, continuera d'être notre référence et notre principe conducteur en tout ce que nous entreprenons pour la Tunisie, pour le renforcement de son prestige et de sa gloire, et pour chaque citoyenne et chaque citoyen, sur chaque partie de son territoire et à l'extérieur du pays.
Nous oeuvrons avec loyauté et constance à réaliser leurs aspirations à une vie plus évoluée, dans tous les domaines, et où règnent le bien-être et la prospérité, en puisant notre détermination dans notre attachement et notre fidélité à la Tunisie, et notre ardeur dans l'action visant à renforcer ses acquis, à défendre ses intérêts et à élever son rang parmi les nations.
Ce sont vingt années de réforme et de modernisation, au cours desquelles nous avons eu une foi inflexible dans le caractère éminemment élevé de la mission historique dont nous sommes investis et dans la confiance placée par notre peuple dans nos choix, et son adhésion à nos orientations.
Notre pays était, avant le Changement, un pays du tiers-monde, avec l'ensemble des critères et caractéristiques du sous-développement attachés à cette classification: avec une crise politique paralysante, des déchirures sociales profondes, une absence de stabilité et de quiétude, une situation économique détériorée et des risques multiples, alimentés par les convoitises de l'intérieur du pays comme de l'extérieur.
La situation était fort dégradée dans tous les domaines et susceptibles d'éclater à tout moment.
La Tunisie est, aujourd'hui, un pays émergent qui avance vers l'avenir avec confiance et assurance, pour rejoindre le cortège des pays les plus développées et les plus prospères.
Citoyennes, Citoyens,
Le processus du développement intégral que nous avons adopté tout au long des vingt dernières années, a fait de l'interdépendance et de la complémentarité des volets économique et social du développement, un principe constant et une valeur immuable, et assuré au mieux l'adéquation et l'interaction avec les réformes politiques et la modernisation culturelle et civilisationnelle que notre pays connaît depuis l'année 1987.
C'est ce qui a permis de réaliser un rythme de croissance toujours soutenu, malgré les difficultés climatiques, les crises internationales successives et la hausse excessive des prix des carburants, des matières premières et des céréales, sur le marché mondial.
Ainsi, le taux moyen de croissance du Produit Intérieur Brut (PIB) a été de 4,3 pc, tout au long de la première décennie, et s'est élevé à 5 pc durant la seconde décennie; il devrait atteindre, selon les prévisions, 6,3 pc pour la présente année.
Nous nous employons à maintenir ce rythme de croissance, tout au long du Plan de développement en cours, pour servir au mieux nos priorités et nos objectifs dans les divers domaines et, en premier lieu, en matière d'emploi.
Les réformes que nous avons adoptées ont permis d'ouvrir l'économie nationale sur son environnement international, les exportations se sont ainsi accrues, depuis le Changement et jusqu'à ce jour, à un rythme supérieur à 12 pc en moyenne par an, alors que le déficit du budget a baissé pour se situer à un taux moyen de 2,9 pc au cours de la dernière décennie.
Le taux d'endettement extérieur par rapport au revenu national est tombé, de son côté, de 56,2 pc à 45,6 pc actuellement, et devrait être ramené, selon les prévisions, à 42,8 pc à la fin de l'année 2008. De même, le taux de service de la dette extérieure par rapport aux recettes courantes a été ramené de 26,8 pc en 1987, à seulement 11,5 pc, à la fin de l'année en cours.
Nous avons oeuvré, depuis le Changement, à améliorer le climat de l'investissement et de la création d'entreprises et à développer l'infrastructure et les équipements de base dans toutes les régions du pays. C'est ce qui a ouvert les secteurs porteurs devant l'initiative privée et l'investissement, et renforcé, de dix points environ, la part du secteur privé dans le total des investissements.
La structure de l'économie nationale a enregistré, de ce fait, un bond qualitatif qui lui a permis de réaliser une amélioration notable des indicateurs de convergence avec les économies des pays développés.
Le fait que le secteur des services représente, actuellement, 57,2 pc du produit national témoigne, on ne peut mieux, de ce bond qualitatif, d'autant plus que la contribution à la croissance du secteur des services à lui seul, s'établit, cette année, à 51,8 pc.
Nous nous sommes attachés, dans notre programme pour la Tunisie de demain, à renforcer cette mutation qualitative et à en accélérer le rythme, afin que l'économie nationale puisse acquérir les attributs de la modernité qui distingue les économies des pays avancés.
Bien que nous ayons franchi plusieurs étapes dans la mise en oeuvre de ce Programme, atteignant un niveau élevé de réalisation dépassant 88,8 pc à ce jour, pour les objectifs et mesures qui ont été réalisés entièrement ou qui connaissent un niveau élevé d'exécution, nous nous proposons de continuer à appuyer ses programmes et projets, par de nouvelles initiatives.
Les petites et moyennes entreprises, bénéficiant actuellement de nombreuses primes à l'investissement au niveau de la création, de l'extension et de la mise à niveau, nous annonçons notre décision d'étendre à ces primes, les mêmes avantages fiscaux accordés à ces entreprises.
Dans le but de stimuler davantage l'investissement dans les petites entreprises et de réduire les coûts d'exploitation et de fonctionnement, nous annonçons notre décision d'exonérer ces entreprises de la taxe de la formation professionnelle et de la contribution au Fonds de promotion des logements pour les salariés (FOPROLOS), et ce, pour les trois premières années, à partir de la date d'entrée en activité effective.
Cette mesure s'ajoute aux incitations financières dont bénéficient actuellement les petites entreprises, sous forme de prime d'investissement et de dotation financière destinée à compléter le schéma de financement et qui est remboursable sur plusieurs années.
Dans le cadre de la stimulation de l'initiative privée et de l'amélioration du rythme des créations d'entreprises et de promotion de l'investissement et de l'emploi dans les zones de développement régional, nous annonçons notre décision de relever, de 4 à 5 millions de dinars, les plafonds des investissements éligibles aux interventions du Fonds de promotion et de décentralisation industrielle, au profit des nouveaux promoteurs et des petites et moyennes entreprises, et de relever les plafonds des primes d'investissement pour les porter à un million de dinars dans les régions de développement régional prioritaires.
Dans ce même cadre, nous ordonnons de porter le taux de participation du Fonds de promotion et de décentralisation industrielle au capital des petites et moyennes entreprises installées dans les zones prioritaires de développement régional de 30 à 40 pc du capital initial.
L'administration publique étant un facteur influent dans la stimulation du développement, il est impératif de promouvoir, de manière encore plus effective, la qualité de ses prestations et services aux niveaux central, régional et local.
Eu égard à l'importance de l'élément humain dans la réalisation de cet objectif, nous ordonnons d'organiser une consultation nationale sur la modernisation de la fonction publique et le renforcement de son aptitude à s'adapter aux mutations en cours.
Citoyennes, citoyens,
Nous avons adopté, l'année dernière, un programme d'exécution pour la libéralisation financière avec l'extérieur dont l'application a eu un impact positif sur les transactions avec l'étranger, aussi bien pour les personnes que pour les entreprises.
Tout en nous acheminant à pas surs en direction de la libéralisation totale du Dinar, nous annonçons notre décision d'autoriser les banques à gérer, dans la limite de 20 pc, leurs avoirs en devises, sur les marchés mondiaux, en adoptant les règles de la gestion prudentielle dans ce domaine.
Nous ordonnons, d'autre part, de prendre un ensemble de mesures supplémentaires déléguant aux banques la cotation et la réalisation de transactions sur les instruments de couverture des risques de change et de taux d'intérêt ainsi que l'extension de la durée de ces couvertures.
Nous nous attachons, dans le financement du XIème Plan de développement, à renforcer l'épargne nationale et les ressources propres. C'est ce qui commande de relever le taux d'épargne pour le porter de 20,5 pc actuellement, à 23,6 pc d'ici la fin du XIème Plan. Pour stimuler davantage les mécanismes du marché dans ce domaine, garantir la cohérence des taux d'intérêt et introduire une compétition plus forte entre les banques, en matière de mobilisation de l'épargne, nous ordonnons de libérer le taux d'intérêt appliqué à l'épargne, tout en fixant un taux minimum équivalent au taux du marché monétaire moins deux (TMM-2) afin de protéger les petits épargnants.
L'assurance-vie constituant, de notre point de vue, une épargne à long terme, qu'il importe de renforcer, tant en raison de son rôle dans la mobilisation des ressources financières que pour l'appui aux caisses nationales de retraite, nous ordonnons de modifier le cadre fiscal relatif à ce système, de manière à relever le plafond de la déduction au titre de la prime d'assurance-vie, de 2000 à 3000 dinars par an, et d'y introduire plus de souplesse, en permettant aux souscripteurs de racheter leurs contrats, après cinq ans, à condition de régulariser leur situation fiscale et sans payer de pénalités de retard.
Citoyennes, citoyens,
L'emploi est le plus grand de nos défis sociaux et de développement. Nous avons multiplié les initiatives, les programmes et les instruments en vue d'améliorer le rythme des créations d'emplois et de réduire le chômage.
Nous avons pu, grâce aux politiques et programmes que nous avons adoptés, améliorer le taux de couverture des demandes additionnelles d'emplois, par des créations nouvelles, en portant ce taux à 92 pc au cours du Xème Plan, contre 68 pc au début du Changement.
Compte tenu de la relation étroite entre l'investissement, l'initiative et l'emploi, nous ordonnons de permettre aux personnes physiques de convertir leurs comptes d'épargne en comptes d'épargne pour l'investissement, sans leurs demander la restitution des avantages obtenus au titre du compte initial.
Nous ordonnons, également, d'instituer un système d'épargne pour l'investissement et l'emploi, à l'instar du système d'épargne-logement, afin de mobiliser les ressources financières, d'une part, et de permettre, d'autre part, aux nouveaux promoteurs, de disposer de l'auto-financement.
Le marché de l'emploi étant ouvert aux nouvelles demandes qui vont connaître une progression continue pour se situer à plus de 87 mille demandes additionnelles en moyenne par an jusqu'en 2014, en plus du changement radical qui sera observé au niveau de la structure de ces demandes, du fait de l'augmentation du nombre des diplômés de l'enseignement supérieur, nous ordonnons, aujourd'hui, d'organiser, au cours de l'année 2008, une consultation nationale élargie sur l'emploi et ses perspectives, tenant compte des mutations que connaîtra l'économie tunisienne et des évolutions qui marqueront le système des métiers et les techniques.
Conscients des changements majeurs qui secouent l'économie mondiale, du fait des variations climatiques et de la hausse exagérée des prix de l'énergie et des produits de base, nous accorderons, au cours de la période à venir, toute l'attention requise à la rationalisation de la consommation d'énergie et à l'amélioration de son efficience, à l'utilisation des énergies renouvelables, à l'orientation de la consommation vers les énergies les moins corteuses et au renforcement de certains secteurs en relation avec ces orientations, au premier rang desquels, les transports en commun.
Nous exhortons les tunisiennes et les tunisiens à opter, dans tous les domaines de la vie quotidienne, qu'ils soient à la maison ou bien sur leurs lieux de travail, et notamment dans les entreprises, ainsi que dans l'utilisation des divers moyens de transport, pour un comportement clairvoyant, et à acquérir de nouvelles habitudes pour réaliser des économies en matière d'énergie électrique et de carburants, et à s'orienter autant que possible vers les solutions alternatives basées sur la consommation des énergies renouvelables et les technologies qui réduisent les coûts, limitent les pertes de la collectivité nationale et allègent la pression excessive qui s'exerce sur le budget de l'Etat, du fait des subventions.
Il doit être clair, aux yeux de tous, que l'ensemble des indices indiquent, aujourd'hui, que le prix du pétrole continuera d'augmenter et que les réserves mondiales en cette matière sont appellées à s'épuiser au bout d'une période qui ne sera pas très longue. Il est, dès lors, indispensable que nous en soyons profondément conscients et que nous nous y préparions de manière rationnelle.
L'Etat déploiera, au cours de la prochaine période, un effort supplémentaire pour porter davantage l'attention sur l'exploitation des ressources renouvelables et sur le développement de la recherche technologique dans ce domaine et ses applications au niveau économique.
Compte tenu da la hausse des prix mondiaux des céréales, nous avons pris récemment une série de mesures en vue de renforcer nos potentialités nationales dans le secteur des grandes cultures, d'améliorer l'efficacité et le rendement de l'agriculture tunisienne et de l'habiliter à réaliser notre autosuffisance alimentaire.
Nous comptons sur la lucidité du citoyen tunisien et sur son sens de la responsabilité, pour éviter toute forme de gaspillage et rationaliser la consommation, compte tenu de la hausse continue des prix des produits agricoles.
Dans le but de renforcer les mesures que nous avions prises pour impulser la production céréalière et alléger l'endettement du secteur des grandes cultures, nous annonçons notre décision de consentir un abattement de 50 pc sur les intérêts contractuels et d'effacer la totalité des intérêts de retard au titre des dettes des agriculteurs du secteur des grandes cultures, et de rééchelonner le principal et le reliquat des intérêts sur une période de 15 ans au maximum, sans avance, tout en permettant aux agriculteurs qui ont procédé au rééchelonnement de leurs dettes, de bénéficier de nouveaux prêts.
La consolidation de nos acquis dans le domaine agricole étant liée également aux services d'appui qui lui sont rattachés, dont, en particulier, les services fournis par le secteurs des assurances en vue de garantir la continuité des investissements agricoles, leur rentabilité et la protection du patrimoine de l'agriculteur, et après avoir pris connaissance des résultats de la consultation nationale sur le système d'assurances agricoles que nous avions ordonné d'organiser, depuis quelques mois, nous annonçons notre décision de généraliser l'exonération de la taxe unique sur l'assurance, à l'ensemble des entreprises d'assurance intervenant en matière de couverture des risques agricoles.
Nous ordonnons, également, de réduire de 40 pc les tarifs appliqués pour la couverture des risques de chute de grêle et d'incendie agricole, pour les grandes cultures et l'arboriculture dans les régions les plus exposées à ces risques, et de 30 pc pour les risques de mort de cheptel.
Dans le souci d'atténuer les effets du morcellement et de la dispersion des exploitations agricoles, nous ordonnons d'appliquer des réductions atteignant jusqu'à 20 pc au profit des agriculteurs optant pour des contrats collectifs d'assurance ou souscrivant des contrats individuels renouvelables annuellement.
Compte tenu du rôle qu'exerce dans ce domaine, la caisse tunisienne d'assurance mutuelle agricole, nous ordonnons de modifier la forme juridique de cette caisse, de manière à lui permettre de promouvoir ses services et de consolider son réseau, à des cots réduits et avec une qualité qui réponde aux attentes des agriculteurs.
Conscients des changements majeurs qui secouent l'économie mondiale, du fait des variations climatiques et de la hausse exagérée des prix de l'énergie et des produits de base, nous accorderons, au cours de la période à venir, toute l'attention requise à la rationalisation de la consommation d'énergie et à l'amélioration de son efficience, à l'utilisation des énergies renouvelables, à l'orientation de la consommation vers les énergies les moins corteuses et au renforcement de certains secteurs en relation avec ces orientations, au premier rang desquels, les transports en commun.
Nous exhortons les tunisiennes et les tunisiens à opter, dans tous les domaines de la vie quotidienne, qu'ils soient à la maison ou bien sur leurs lieux de travail, et notamment dans les entreprises, ainsi que dans l'utilisation des divers moyens de transport, pour un comportement clairvoyant, et à acquérir de nouvelles habitudes pour réaliser des économies en matière d'énergie électrique et de carburants, et à s'orienter autant que possible vers les solutions alternatives basées sur la consommation des énergies renouvelables et les technologies qui réduisent les coûts, limitent les pertes de la collectivité nationale et allègent la pression excessive qui s'exerce sur le budget de l'Etat, du fait des subventions.
Il doit être clair, aux yeux de tous, que l'ensemble des indices indiquent, aujourd'hui, que le prix du pétrole continuera d'augmenter et que les réserves mondiales en cette matière sont appellées à s'épuiser au bout d'une période qui ne sera pas très longue. Il est, dès lors, indispensable que nous en soyons profondément conscients et que nous nous y préparions de manière rationnelle.
L'Etat déploiera, au cours de la prochaine période, un effort supplémentaire pour porter davantage l'attention sur l'exploitation des ressources renouvelables et sur le développement de la recherche technologique dans ce domaine et ses applications au niveau économique.
Compte tenu da la hausse des prix mondiaux des céréales, nous avons pris récemment une série de mesures en vue de renforcer nos potentialités nationales dans le secteur des grandes cultures, d'améliorer l'efficacité et le rendement de l'agriculture tunisienne et de l'habiliter à réaliser notre autosuffisance alimentaire.
Nous comptons sur la lucidité du citoyen tunisien et sur son sens de la responsabilité, pour éviter toute forme de gaspillage et rationaliser la consommation, compte tenu de la hausse continue des prix des produits agricoles.
Dans le but de renforcer les mesures que nous avions prises pour impulser la production céréalière et alléger l'endettement du secteur des grandes cultures, nous annonçons notre décision de consentir un abattement de 50 pc sur les intérêts contractuels et d'effacer la totalité des intérêts de retard au titre des dettes des agriculteurs du secteur des grandes cultures, et de rééchelonner le principal et le reliquat des intérêts sur une période de 15 ans au maximum, sans avance, tout en permettant aux agriculteurs qui ont procédé au rééchelonnement de leurs dettes, de bénéficier de nouveaux prêts.
La consolidation de nos acquis dans le domaine agricole étant liée également aux services d'appui qui lui sont rattachés, dont, en particulier, les services fournis par le secteurs des assurances en vue de garantir la continuité des investissements agricoles, leur rentabilité et la protection du patrimoine de l'agriculteur, et après avoir pris connaissance des résultats de la consultation nationale sur le système d'assurances agricoles que nous avions ordonné d'organiser, depuis quelques mois, nous annonçons notre décision de généraliser l'exonération de la taxe unique sur l'assurance, à l'ensemble des entreprises d'assurance intervenant en matière de couverture des risques agricoles.
Nous ordonnons, également, de réduire de 40 pc les tarifs appliqués pour la couverture des risques de chute de grêle et d'incendie agricole, pour les grandes cultures et l'arboriculture dans les régions les plus exposées à ces risques, et de 30 pc pour les risques de mort de cheptel.
Dans le souci d'atténuer les effets du morcellement et de la dispersion des exploitations agricoles, nous ordonnons d'appliquer des réductions atteignant jusqu'à 20 pc au profit des agriculteurs optant pour des contrats collectifs d'assurance ou souscrivant des contrats individuels renouvelables annuellement.
Compte tenu du rôle qu'exerce dans ce domaine, la caisse tunisienne d'assurance mutuelle agricole, nous ordonnons de modifier la forme juridique de cette caisse, de manière à lui permettre de promouvoir ses services et de consolider son réseau, à des cots réduits et avec une qualité qui réponde aux attentes des agriculteurs.
Citoyennes, citoyens,
Le revenu annuel moyen par habitant a enregistré une progression continue, au taux de 7,3 pc en moyenne par an depuis 1987, et le taux de pauvreté est tombé à 3,8 pc, grâce à nos politiques de solidarité et à un meilleur ciblage des subventions et des programmes d'aide et d'assistance aux catégories les plus nécessiteuses. C'est ce qui a permis à notre pays de devenir un modèle et un exemple à suivre, au niveau mondial, en matière de développement social et de lutte contre la pauvreté.
Nous avons fait de la garantie des attributs de la dignité du citoyen tunisien un objectif fondamental de nos politiques et considéré la promotion de la qualité de la vie et la consécration du développement durable comme une constante de notre action de développement.
La maîtrise des équilibres financiers et économiques et du taux d'inflation nous ont aidés à consolider le pouvoir d'achat du citoyen, à telle enseigne que les prix des produits de consommation de base dans notre pays sont considérés comme les moins élevés par comparaison à ceux des pays similaires, où le revenu moyen par habitant et le niveau des salaires restent inférieurs aux niveaux qu'ils ont atteints en Tunisie.
Nous n'avons cessé, en aucune année, et malgré les difficultés qui ont marqué certaines périodes, de consacrer le dialogue social et les négociations périodiques sur les salaires et les conditions de travail dans tous les secteurs, ce qui a permis d'assurer une augmentation ininterrompue des salaires et une amélioration continue des conditions de travail et de production et des systèmes de promotion professionnelle des diverses catégories de travailleurs manuels et intellectuels.
Nous tenons à saluer, à cette occasion, nos organisations nationales et, en premier lieu, l'Union Générale Tunisienne du Travail (UGTT), L'Union Tunisienne de l'Industrie, du Commerce et de l'Artisanat (UTICA), et l'Union Tunisienne de l'Agriculture et de la Pêche (UTAP), appréciant leur rôle dans la consécration de ce choix politique et social, et dans la consolidation des fondements de la paix sociale, ainsi que le sens profond de l'intérêt national qui distingue leurs dirigeants et leurs cadres, et leur attachement à contribuer activement à la progression de la Tunisie sur le chemin du progrès et de la prospérité.
Les indicateurs relatifs à l'évolution de la qualité de la vie du citoyen tunisien, dans les villes comme dans les campagnes, ont atteint, aujourd'hui, des niveaux élevés, salués par de nombreuses institutions et structures internationales spécialisées.
L'espérance de vie à la naissance a augmenté pour atteindre, actuellement, 74 ans, contre 67 ans en 1984, et l'on s'attend à ce qu'elle se rapproche de 80 ans à l'horizon de l'année 2020.
L'Etat est intervenu dans le cadre de la sollicitude qu'il accorde aux catégories sociales modestes pour mettre en place un filet de sécurité qui a permis, à ce jour, de multiplier par plus de cinq fois le volume des transferts sociaux, soit un total représentant 19 pc du PIB; cela signifie que chaque ménage tunisien bénéficie actuellement d'une moyenne de revenu mensuel additionnel indirect d'un montant de 277 dinars.
Citoyennes, citoyens,
Nous avons déjà eu à souligner que la femme tunisienne constitue un symbole de la modernité et la garantie de l'authenticité de notre peuple, en même temps qu'un des piliers de la République, tant il est vrai que le concept de citoyenneté ne peut revêtir tout son sens sans la citoyenneté de la femme.
Le partenariat entre l'homme et la femme constitue, aujourd'hui, une réalité palpable, consacrée dans le texte comme dans la pratique, au sein de la famille et dans la société, comme dans le milieu économique et culturel et dans la vie politique.
C'est ce que confirment tous les indicateurs quantitatifs et qualitatifs qui placent notre pays au premier rang des pays du monde ce domaine.
La femme représente, à travers sa participation à l'activité économique, près du tiers de la population active, compte non tenu des femmes travaillant dans les secteurs non structurés.
Tout en considérant, aujourd'hui, la femme tunisienne comme un modèle dans notre environnement régional et international, de par les droits qu'elle exerce et les acquis dont elle bénéficie et que nous nous préoccupons de préserver et d'accroître, tout particulièrement dans la vie publique, nous invitons les partis politiques à oeuvrer à renforcer le taux de présence de la femme sur les listes qu'ils présenteront aux élections législatives et municipales, de manière à consacrer notre choix national en faveur d'une plus grande présence féminine dans les institutions constitutionnelles.
En tant que président du Rassemblement Constitutionnel Démocratique, nous annonçons notre décision pour que le taux de présence de la femme sur les listes des élections législatives et municipales soit de 30 pc au minimum.
Nous considérons que cette discrimination positive au profit de la femme est en harmonie avec l'évolution de notre société et investit la femme tunisienne d'une grande responsabilité dans la préservation et le développement de ses acquis.
Nous avons accordé aux jeunes une place centrale dans nos choix et politiques, et leur avons donné les opportunités les plus larges pour contribuer à la vie publique et participer à l'édification de l'avenir.
Nous avons pris pour démarche constante d'être attentifs à leurs problèmes et de développer le dialogue avec eux, afin d'être constamment au fait de leurs préoccupations et de leurs centres d'intérêt, et de prendre en compte leurs opinions et leurs approches dans la définition des plans et la mise en place des projets et programmes.
Au regard des mutations que connaît notre société et le monde, en général, du fait des progrès économiques et technologiques, et des changements au niveau des méthodes de travail et de production, ainsi que des modes de vie et de l'activité culturelle, nous ordonnons d'organiser, au cours de l'année 2008, un dialogue global avec les jeunes tunisiens, de toutes les catégories, auquel seront appelés à participer les jeunes qu'ils soient à l'intérieur du pays ou à l'extérieur. Ce dialogue devra couvrir le plus large éventail de secteurs et conduire à l'élaboration d'un pacte de la jeunesse portant sur les constantes et les choix majeurs que nos jeunes oeuvrent à consacrer.
Au premier rang de ces constantes figurent l'allégeance à la Tunisie, et à elle seule, l'attachement aux attributs de notre identité nationale, le sentiment d'appartenance à notre chère patrie, la défense de son intégrité et la conscience profonde des enjeux du présent et de l'avenir.
Nous invitons, par ailleurs, tous ceux qui assument un rôle dans le domaine de l'éducation des jeunes, que ce soit au niveau de la famille ou à celui des diverses institutions de la société, au premier rang desquels les membres du corps éducatif et les responsables des maisons de la culture, des structures de loisirs et des clubs sportifs, à s'attacher davantage à accomplir les missions qui leur sont dévolues pour inculquer à nos filles et à nos fils les règles du comportement civilisé et son éthique, et à les aider à cultiver leurs vocations et leur énergie créatrice dans tous les domaines.
Nous oeuvrons constamment, de notre côté, dans le cadre de nos choix fondamentaux et de nos priorités nationales, à augmenter l'investissement dans l'intelligence et le savoir, ainsi que dans la culture, l'enseignement et la recherche scientifique, qui constituent les enjeux de l'avenir, et l'avenir de nos jeunes en particulier.


• Il n'est point de place pour l'exclusion ni pour la marginalisation et nul ne pourra rester en marge du processus de développement et de progrès.

• Aucune région de notre pays ne pourra demeurer à l'écart du processus de développement, que ce soit dans les campagnes ou dans les villes, dans le Nord ou dans le Sud.

• Notre ambition pour la Tunisie est grande. Elle est fondée sur l'entente et le consensus, comme base de stabilité politique, et sur le dialogue comme fondement de la paix sociale, dans le cadre de l'Etat de droit, du respect des principes des droits de
l'homme et de la consécration des valeurs de liberté, d'égalité et de justice.

• La Déclaration du 7 Novembre continuera d'être notre référence et notre principe conducteur en tout ce que nous entreprenons pour la Tunisie, pour le renforcement de son prestige et de sa gloire, et pour chaque citoyenne et chaque citoyen.

• Nous nous employons à maintenir ce rythme de croissance, tout au long du Plan de développement en cours

• Appel à tous les Tunisiens et les Tunisiennes à opter pour un comportement clairvoyant, et à acquérir de nouvelles habitudes pour réaliser des économies en matière d'énergie électrique et de carburants

• S'orienter autant que possible vers les solutions alternatives basées sur la consommation des énergies renouvelables et les technologies qui réduisent les coûts et
limitent les pertes de la collectivité nationale

• La Tunisie compte sur la lucidité du citoyen tunisien et sur son sens de la responsabilité, pour éviter toute forme de gaspillage et rationaliser la consommation, compte tenu de la hausse continue des prix des produits agricoles

• La femme tunisienne est considérée comme un modèle dans son environnement régional et international, de par les droits qu'elle exerce et les acquis dont elle bénéficie

• Attention pour les jeunes et développement du dialogue avec eux, afin d'être constamment au fait de leurs préoccupations et de leurs centres d'intérêt, et de prendre en compte leurs opinions et leurs approches dans la définition des plans et la
mise en place des projets et programmes.

• Attachement, dans les textes comme dans la pratique, à préserver la liberté d'opinion et d'expression et à protéger la propriété intellectuelle et les droits d'auteur.

• Le choix du pluralisme est un choix irréversible, et les partis politiques, qu'ils soient au pouvoir ou dans l'opposition, sont les composantes de l'équation démocratique et de la compétition loyale.


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