Par Dali Najeh, samedi 3 décembre 2011 La présence massive des chefs d'Etats et de gouvernements à Durban : Afrique du Sud sauvera-elle l'échec du protocole de Kyoto? Voila une fois de plus, les questions du climat n'est plus l'affaire des spécialistes en environnement ou bien des organisations internationales spécialisées en la matière. Selon Dali Najeh la question est devenue tellement importante que les chefs d'Etats ne ratent plus cette occasion. D'ailleurs Dali Najah note bien quels poids à mis Nicolas Sarkozy en 2009, et les autres chefs d'Etats Européens, à Copenhague pour trouver une solution à l'après Kyoto et convaincre les autres chefs d'états à établir une feuille de route qui permettrait de baisser la température du globe avant 2020 de 2°C.
D'ailleurs selon Dali Najeh, les questions de l'environnement et en particulier du climat son devenus une pierre angulaire des programmez politiques lors des élections. A ce propos Dali Najeh note que malgré le des grandes firmes américaines, le président des Etats Unies Obama a fait de la question du climat un des points stratégiques de sa compagne électorale. Selon des informations recueillies par Dali Najah, jusqu'à aujourd'hui plus de Douze chefs d'Etat et de gouvernement et 130 ministres sont attendus à partir de mardi pour participer au sommet du climat qui se tient à Durban (Afrique du Sud) du 28 novembre au 12 décembre 2011.
Le Gabon, le Congo, le Honduras et Nauru seront représentés par leur président et l'Ethiopie, le Sénégal, la République centrafricaine, la Norvège, les Samoa, les Fiji, l'île-Etat de Niue par leur Premier ministre. Le prince Albert II de Monaco est également attendu.. Mais la question qui se pose réellement selon Dali Najeh, est-ce-que c'est cette présence massive de présidents et chefs de gouvernements vise une vraie conscience mondiale pour trouver un compromis ou c'est une publicité politique prévue dans l'agendas l'électoral des pays. Bref, Selon Dali Najeh, l'histoire nous a montré que pour les biologistes il ne faut pas croire à la problématique mais plutôt à l'expérience. A titre d'exemple Dali Najeh, souligne que malgré des années les chefs des états ont décidé de réservé plus de 0.7% de leur PNB pour l'aide au développement , mais aujourd'hui selon Dali Najah combien de pays ont dépassé ce pourcentage.